vendredi 19 avril 2013

Les confessions intimes d'une rebelle catholique au pied mutin.

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Mes très chers,

Je m'appelle Anne-Sophie, j'ai 22 ans et j'étudie à Science Po. Mon père est cadre supérieur dans un grand groupe pétrolier et son épouse est femme au foyer comme on dit dans les milieux populaires. J'habite le 17ème arrondissement dans un modeste appartement de 140 m² où officient ma chère mère et les deux domestiques qui l'épaulent.

Mon fiancé Charles Henri qui, je le précise ne m'a jamais effleuré, réservant ses transports sexuels pour la nuit de noces consécutive à la cérémonie du mariage religieux, m'ayant invité à vivre une grande aventure populaire, un juste combat politique contre le manant socialiste, le gueux gauchiste rentrés par effraction dans les arcanes du pouvoir généralement destiné à notre classe !




 Déjà, lors de la messe dernière, dans la paroisse où je milite aux MJCF, nous avions été alertés par l'abbé Petitgros de cet odieux projet de loi du mariage pour tous, ersatz de cérémonie diabolique entre deux êtres lubriques et vicieux de même sexe, animés par les pires excentricités copulatives qui me font froid dans le dos rien qu'en y pensant !

J'ai aussitôt enfilé mes ballerines pour pouvoir défier avec souplesse et célérité le félon CRS qui habituellement est notre allié objectif. 
Charles Henri, nerveux comme une puce m'a follement excitée en m'expliquant que nous participions aux prémices d'une révolution populaire, une sorte de mai 1968 contre-révolutionnaire, un soulèvement catholique rappelant la glorieuse résistance du Chouan vendéen contre l'usurpateur (déjà !), bref, un moment historique qui marquerait à jamais l'entrée en fanfare des valeurs de la chrétienté dans notre beau Pays de France.

La république, cette gueuse irrespectueuse des valeurs de la France profonde n'avait qu'à bien se tenir, par la nécropole royale de Saint Denis !

Nous rejoignîmes un groupe constitué de mouvements tous plus pacifistes les uns que les autres, du GUD, des jeunes pops, de Civitas, du Bloc identitaire, des jeunesses nationalistes et du Renouveau français. J'y retrouvai avec joie, Joachim, Marie Chantal, Charles-Louis, Matthieu-Georges, Pierre Alexandre, Clothilde , Hugo, Alix , Camille, Constance, François-Eudes... Je ne saurais tous les énoncer ! 
La jeunesse de la vraie France populaire, celle qui prendra de toute manière, tôt ou tard, les rênes de notre pays  était réunie, enthousiaste, prête a renverser ce régime illégitime mené par un tyran progressiste.

Arrivés devant l'Assemblée nationale, nous entonnâmes avec une ardeur juvénile des cantiques religieux. Puis, copiant l'abbé en soutane qui nous fit face, à genoux, nous priâmes pour les CRS, pour que Dieu fasse entendre raison à tous ces députés de gauche qui veulent détruire la cellule familiale traditionnelle, à tous ces communistes qui souhaitent raser nos églises, tondre nos curés, enduire de goudron et de plumes les fidèles chrétiens pour laisser libre-accès aux mollahs !

Dieu ne pouvait laisser la fille aînée de l'Église aux mains de ces athées iconoclastes qui renient la Monarchie et nos valeurs séculaires ! Aucun Français ne pouvait penser que le Seigneur laisserait détruire nos symboles sacrés ! 

Un cri de joie ! Toutes les têtes se tournèrent : Christine Boutin, un énorme crucifix en pendentif suivie de Béatrice Bourges, l'instigatrice du printemps français, toutes deux l'air halluciné, semblaient habitées par Dieu. Il faisait nuit, nous avions tous allumés nos briquets comme autant de cierges. L'atmosphère était magique. Le service d'ordre, figé, semblait ressentir cette spiritualité avec frayeur. Un silence pesant se fit. Quelques députés UMP se joignirent sans faire de bruit  à nos deux dames patronnesses.

L'émotion parvint à son comble quand Christine leva la tête vers le ciel, les paumes offertes et se mit à genoux. Elle implora le Créateur et sembla entamer un dialogue, les cœurs battaient à l'unisson, la ferveur était palpable. Un cri jaillit, viril, déterminé : "Jésus est avec nous !".

C'est ce moment que choisirent les CRS, pour nous gazer  et asphyxier ainsi les forces vives du pays réel.
Si vous souhaitez connaître la suite, consultez donc la description des affres terribles que nous avons subies, auprès desquelles, les souffrances endurées en Irak, ne sont que peccadilles.

Nous continuerons inlassablement notre combat jusqu'au moment où fatalement, un accident lors d'une manifestation ou d'un échange musclé entraînera le décès d'une victime. 
Ce mort deviendra alors le martyr de tout un peuple, le symbole de la brutalité de l'idéologie socialo-communiste illégitime et abhorrée du troupeau de Dieu, c'est à dire du peuple français tout entier que nous représentons.


Alors, la purge salutaire pourra enfin commencer...
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44 commentaires:

  1. L'extrème droite en rang serré organise les manifs anti mariage pour tous, les éternels ennemis des libertés, des droits, du progrés. Ils occupent habilement la rue en lieu et place des vrais victimes de la crise....Cela va peut-être inciter toute la vraie gauche à s'unifier??
    Robert Spire

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    1. J'en doute. D'autant que les socialistes de gouvernement, du fait de leur politique austéritaire lamentable ne peuvent rallier personne. Ni le centre, ni la gauche !

      Ce gouvernement gère l'économie d'une manière désastreuse. Sa conduite devant Angela Merkel est humiliante pour notre pays.

      Ces Moscovici et Sapin sont des catastrophes ambulantes.

      Je crains le pire...

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    2. Aprés la démonstration de force des droites en 1934: le Front Populaire en 1936. Aprés le zénith des fascismes en 1942: le CNR en 1944...De nos jour on est capable de faire l'économie du pire, il ne faut pas être trop pessimiste, la connerie trop visible d'une minorité d'extrémistes de tous poils, effraient les citoyens qui sont quoiqu'on en dise, majoritairement bien plus instruits et informés qu'autrefois.
      Robert Spire

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  2. La caricature aurait sans doute gagnée à être un peu plus subtile, mais enfin je conçois qu'avec les lecteurs que vous vous trimballez il est sans doute nécessaire de passer les traits au stabilo si vous voulez que tout le monde les voie…

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    1. "La caricature aurait sans doute gagnée.."
      gagné!, gagné!

      Mais bravo pour le subjonctif présent "que tout le monde les voie" (je m'y serais laissé prendre...avec un "voit" ou un "voient"...)

      sinon je trouve, pour ma part, et avec mon esprit limité de lecteur trimballé (ou trimbalé) l'aticle assez subtil.. sauf pour les relous de droite, bien sûr...
      mais bon...

      sans rancune!...

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    2. @ Goux

      J'apprécie d'autant plus votre critique sur la lourdeur de ma caricature que vous êtes un professionnel reconnu de tous...

      J'en veux pour preuve que sur votre blog, les descriptions de vos portraits de gauchistes sont ciselés avec la finesse d'un hippopotame centenaire, détaillées avec une grâce éléphantesque que vous maîtrisez parfaitement !

      Quant à mon ami musulman, il n'est évidemment jamais caricaturé lourdement. Tout est dans la nuance,l'élégance, la suggestion subtile et la délicatesse.

      Il n'y a pas à dire, mon cher Goux, vous êtes un écrivain à la plume leste, un orfèvre dans l'art de décrire avec le raffinement et la légèreté qui semble correspondre à votre corpulence !

      Continuez donc de me donner des conseils, que je continue à me régaler !


      @ Alix

      Je suis assez fier des lecteurs que je me trimballe, finalement. Bien vu pour le subjonctif qui m'avait attiré l'œil ! ;-)

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    3. Vous savez que si vous continuez à répondre à toutes mes petites provocations, ça va m'encourager à en faire d'autres ?

      Alix : je vois que cet "e" surnuméraire à gagné n'a pas été perdu pour tout le monde…

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    4. Ah merde !

      Je n'aurais donc plus la permission d'exercer mon droit de réponse sur mon blog ?

      Serait-ce la nouvelle conception de la liberté de parole des défenseurs du "printemps français" ?
      .
      En tout cas, à défaut de me convaincre, vous me faites bien rire !
      .

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    5. Vous ne pensiez tout de même pas que j'essayais de convaincre qui que ce soit ? Et convaincre de quoi, grands dieux ?

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    6. J'ai la vague impression que vous emmerdez gravement en ce moment et que vous comblez votre ennui par la visite acharné de ce blog...

      Du coup, tel un épouvantail, vous faites fuir les mésanges qui viennent habituellement chanter en ce lieu délicieux.

      Vivement le décès rapide de people pour que vous puissiez enfin exercer votre activité favorite : l'écriture de nécrologies.

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    7. Et paf ! encore à côté de la cible ! Figurez-vous que, bien que nous soyons samedi, je suis en train de bosser (8000 signes à écrire, une histoire édifiante d'une petite chienne qui a sauvé son maître du cancer…) en ce moment précis !

      Pour ce qui est des mésanges, elles ont autre chose à faire que de chanter : finir le nid, tirer un coup, pondre, couver, etc. Et, surtout, si vous le faites l'hiver, pensez à arrêter de les nourrir !

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    8. Monsieur Goux ? Assurément un grand écrivaillon.
      Hé oui, tout le monde le voie, le voie, le voie.

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    9. Salut Bibi,

      Comment trouves tu ma salle de sport depuis que j'y ai installé un ring ? -D

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    10. Et on peut savoir ce que vous lui reprochez, à mon "voie" ? Juste comme ça, à titre d'information…

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    11. On dit "une voie", et certaines sont assurément de garage, lourdement parfumées de cambouis chargé d'ans en fût s'il en fut, au point de les fuir même pour les moins futés et les plus futiles.

      Ah nobles futailles au goût de pierraille, que les goûts qui vous traversèrent et les fumets que vous exhalâtes firent esbaudir manants et sénéchaux, troubadours aux vers lestes et ribaudes à la jambe hardie ! (extrait de Ben Vuelh que sapchan li plusor, chanson du premier troubadour, XIIe siècle)

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  3. Don't feed the troll mon Cuicui !
    J'adore ton usage de l'imparfait du subjonctif...et je commence à me demander quels marchés tu fréquentes en réalité : Batignolles ? Ternes ? Passy ? ;-)

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    1. J'ai entendu certains insinuer que je n'étais camelot que pour me faire mousser.

      Je serais la face cachée, voire le revers de médaille ou la part d'ombre d'un ange médiatique.

      Je démens. :-D

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    2. Ça vaut de toute façon mieux que d'être mousse pour se faire cameloter.

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    3. pit1, si c'est le cas, tu m'auras bien baladée (avec le e) depuis toutes ces années !
      je préfère croire que non (naïve et confiante forever)

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    4. Vu votre attachement à ce blog, je vous sens mûr pour m'épouser, Goux.

      Vivement le passage de la loi du mariage pour tous, bordel !

      Je me demande déjà quelle robe vous porterez lors de la cérémonie ? Ce sera la surprise, j'imagine...

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    5. Ah ! parce que, évidemment, c'est à moi que la robe grotesque écherra ! Quel indécrottable macho vous faites, tout de même…

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    6. @ Laetsgo

      Je confirme et revendique mon effrayante appartenance à l'espèce masculine.

      -D
      Rien à voir avec la téléréalité : suis bien trop bête pour en être issu !
      .

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  4. Bien décrite, la situation :) Et je suis d'accord avec Robert Spire. Mais il y a une erreur dans laquelle il ne faudrait pas tomber : l'âne-Sophie dont il est question ,ainsi que ses copains,ne peuvent être que des "bourges" ( bourgeois) de basse catégorie, à l'instigation desquels s'était faite cette révolution qui entraîna la mort de nombreux aristocrates.
    Car les aristos, les vrais, ne trouvent rien à redire au mariage pour tous, en fait, je pense que cela doit leur paraître normal et banal, pas de quoi en faire un fromage. Et eux, en plus, ils ne détournent pas la religion catholique.

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    1. Il serait fort intéressant que vous développiez (je n'ose vous demander d'étayer…) cette fort curieuse affirmation.

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    2. @ Fifi

      Ivre, Didier Goux prend possession du merveilleux blog de cui cui fit l'oiseau lors d'une tentative de putsch désespérée.

      Il se proclame patron de l'espace des commentaires et décide de mener les échanges...

      On croit rêver !

      Je te conseille de ne pas répondre, ma chère Fifi.
      Les cadres supérieurs ne sont pas obligatoirement des bourgeois mais se prennent pour tels. Comme une grande partie de petits cadres, d'ailleurs.

      L'essentiel, en politique, n'est pas d'analyser les classes sociales telles qu'elles sont mais telles qu'elles s'imaginent être ! :)
      .

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    3. Ah ! désolé, je ne suis rien moins qu'ivre ! Ou alors, il faudrait admettre que l'alcool bu par moi lundi soir poursuit ses effets aujourd'hui, ce qui semble tout de même peu probable.

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  5. Goux, ce vieux réac narcissique aux formules creuses, gros bouffeur vantard de gauchistes inoffensifs, serait un blogueur pochtron...Je compatis à cette déchéance!
    Jean Passédémayeur

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  6. Ah ! le conditionnel est admirable ! Vu que je passe mon temps à me vanter de mes cuites (les imaginaires comme les réelles), vous eussiez pu vous contenter de ce bon vieux présent de l'indicatif.

    Quant à votre réprobation effarouchée du “pochtronisme”, on le dirait d'une chaisière du XIXe siècle, c'est touchant.

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    1. Je tiens à vous féliciter, monsieur Goux, du magnifique succès de votre dernier billet intitulé "les confessions intimes d'une rebelle catholique au pied mutin.", en réunissant plus de 500 lectures en 48h.

      J'apprécie infiniment votre nouveau blog. L'avatar en culotte léopard est particulièrement désopilant.

      Je compte sur vous pour me prévenir du moment où je devrais vous confier les clefs...


      @ Passédesmeyeur

      Il est notoirement reconnu que dans la blogosphère, l'alcoolisation est une condition sine qua non pour réussir dans le "métier".
      Vous devriez le savoir ! ;)
      .

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    2. De rien, de rien ! Vous savez, moi, quand je peux rendre service…

      Sinon, vous avez entièrement raison en votre seconde assertion : j'en veux pour preuve l'exemple de Nicolas ex-Nem-beurre-ouane, notre maître à tous. que dis-je : notre caudillo, notre conducator, notre blogolider maximo (maximo Gargia, vu la corpulence…) !

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  7. Le "Cantique des cantiques" de la rebelle:
    http://www.dailymotion.com/video/x19yrh_frigide-barjot-fais-moi-l-amour-ave_music#.UXa24qJYMYR
    La chaisière outrée!

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  8. Je m'en serait voulu de ne pas avoir lu ce billet !!!
    Il est excellent .. Incontournable ..
    Criant de vérité
    Encore merci cuicui

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    1. In contournable me paraît encore un peu faiblard. Il est à graver en lettres d'or et à encadrer de bois précieux avant d'être suspendu à la place d'honneur de votre salon. Si vous disposez d'une petite chapelle romane privative, ce sera encore mieux, évidemment…

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    2. Voilà bien une pensée gondtournable...ou ingondtournable? Peu importe elle vient d'un gond de droite.
      Jean Pondéplusévère

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    3. Si vous saviez le nombre de lectures, mon cher Goux...
      Peut-être, comme vous, envisagerais-je d'en faire un opuscule...

      Quand le melon nous monte à la tête, Goux, on en perd les pédales, vous devez en savoir quelque chose. Non ?

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    4. Non, vous ne pouvez pas encore envisager un opuscule. Savez pourquoi ? Parce que vous n'écrivez pas assez. (Je ne plaisante nullement, là.)

      Quand je me suis laissé aller à croire que je pourrais faire un petit livre des "meilleurs" billets de mon cru (je ne l'aurais jamais fait si Renaud Camus ne m'y avait encouragé à deux reprises), j'ai commencé à faire un tri. Sur deux ans (2008 – 2009), j'avais écris environ 2500 billets. J'en ai gardé 66. et quand il m'est arrivé de relire ces 66, je me suis dit que j'aurais bien pu n'en garder que 44, voire 33, voire aucun.

      C'est vous dire si j'ai le melon…

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    5. C'était de la provoc.

      Je sais très bien que ni vous et encore moins moi, ne nous prenons au sérieux !

      Je subodore que d'aucuns s'imaginent de grands auteurs du Net. Surtout dans votre camp, un peu moins à gauche...
      .

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    6. Provoc, provoc… admettons. Mais pourquoi toujours ramener ça à ces histoires imbéciles de droite et de gauche ? Vous ne pouvez réellement pas vous en empêcher ?

      (Cela étant, qu'aucun blogueur de gauche ne se prenne pour un auteur serait plutôt un bon point en faveur de leur lucidité…)

      (Non, parce que, si vous connaissez un blogueur de gauche qui ressemble, même de loin, à un écrivain, je vous serais reconnaissant de me le signaler.)

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    7. Vous me faites marrer avec vos écrivains !

      Ceux que vous jugez bon, peut-être les trouvé-je sans intérêt ?

      Certains écrivains consacrés n'éveillent en moi qu'ennui et désintérêt. Toute critique est subjective.
      Je n'aime pas les jugements à l'emporte pièce...
      En littérature comme en art, et compte tenu de mon inculture, je ne suis qu'un instinctif.
      Une sorte de canidé au flair foireux. Je n'aime que ce qui sent fort la merde ou ce qui nous chavire.

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  9. A prendre au second degré .,,, un brin d'humour apprécié à sa juste valeur ..!

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  10. Un brin d'humour ...contournable ..ou...incontournable ...à apprécier ...au 1er ..ou ..2d degré ...

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  11. Excuse moi Coq, ce post ayant plus de 10 jours a été automatiquement modéré.

    À cause de ces putains de spams !

    Merci. ;-)

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Laissez-vous aller à votre inspiration, sans limite ! J'ai le cuir épais, le front étroit et la vue basse...

La seule limite aux débordements : la loi....

ATTENTION ! Autrement, ici, on ne censure personne. Les insulteurs, les aigris, les haineux seront reçus comme il se doit, ils devront toutefois s'attendre à de méchantes répercussions ; un chieur averti en valant deux, place aux commentaires !
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