mardi 5 novembre 2013

Le portrait de Yves Réac, militant finkielkrautien camuso-zémourien décomplexé du début du 21ème siècle.

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Yves réac est un homme dont l'esprit enchevêtré et confus est tiraillé entre ses références envers une vieille France monarchique fantasmée et sa répulsion à l'égard un État qu'il ne supporte plus.
Entre son rattachement aux bonnes vieilles traditions d'obéissance à la hiérarchie, de croyances religieuses et de soumission aux valeurs traditionnelles telles que la famille, la religion et le travail, il peine à trouver une certaine cohérence intellectuelle et idéologique.



C'est au niveau de la patrie que monsieur Réac a bien changé. De fervent nationaliste, Yves est devenu un mondialiste échevelé : il défend vent-debout la libre circulation des biens et des marchandises, le culte du produire moins cher pour un profit maximum, les multinationales aux actionnaires invisibles, les délocalisations pour motif de rentabilité  mais ne comprend pas que si on accorde aux biens et aux services une liberté de circuler inconditionnelle, une immigration est fatalement nécessaire.

Bref. Dans sa quête du renouveau d'un dogme réactionnaire du 21ème siècle, monsieur Réac est complètement perdu, il ne sait plus où il habite à force de vouloir le beurre, l'argent du beurre, la crémière, les vaches bretonnes et les pâturages...

Défendre à la fois, les vieilles valeurs d'attachement au catholicisme, à la terre et à  nos  références tutélaires puis  soutenir ce nouveau capitalisme sauvage, anonyme et sans foi ni loi, qui cherche à homogénéiser et affadir les cultures pour accentuer une globalisation des consommateurs afin d'abaisser les coûts de commercialisation, réclame un grand écart intellectuel que nos réacs éludent toujours par manque de réponse cohérente.

Ainsi Yves Réac, lecteur attentif du Figaro, désire avant tout, un papa, une maman pour transmettre les traditions, une myriade d'enfants juste un peu racistes pour offrir des bananes à madame Taubira sans risquer de procédures judiciaires
Pendant que maman récure les mioches, papa, selon les préceptes édictés par messieurs Rioufol et Zemmour et leurs 343 salauds, s'offrira une bonne prostituée pour assouvir des pratiques sexuelles crapuleuses que lui a toujours refusé maman, élevée chez les sœurs du couvent des oiseaux. 
Notre héros réclame également des abbés en soutane, des prêches politiques à la messe, la privatisation de tous les organismes qui peuvent se vendre,  un minimum d'État, très peu d'impôts, un combat radical contre l'effroyable dictature socialiste, un droit de polluer pour faire proliférer les algues vertes et un bonnet rouge pour concurrencer le grand Stroumpf breton.

Monsieur Réac n'est pas un aventurier, ses boucliers humains pour se protéger sont en général sa progéniture : les poussettes remplies de bébés en manifestations, ses pré-adolescents pour offrir sans risques fruits et insultes racistes répréhensibles. Coiffé, de son bonnet rouge il lui arrive, dans un élan héroïque de brûler quelques portiques sataniques au nom de la liberté de la concurrence et du commerce, qui pourtant, met l'économie de sa région à genoux.

Yves est raciste, mais avec une prudence de moins en moins précautionneuse ; ses longs commentaires anonymes dans le Figaro montre que monsieur Réac est surtout mû par la rancœur. Haine du gauchiste, du socialiste pourtant bien timide, du musulman pourtant bien Français, du travailleur étranger pourtant bien laborieux, du Polonais et du Roumain qu'il exploite pourtant sans vergogne pour réaliser ses travaux au noir...
La France de l'aigreur, de la jalousie et du ressentiment contre de pauvres gens qui ont à peine de quoi vivre pendant que des éditocrates grassement payés par de riches et omniscients hiérarques médiatiques, publient des articles incitant à l'hostilité contre les miséreux prétendument profiteurs.

Les maîtres à penser de Yves Réac sont ceux qui ne quittent pas les ondes, Renaud Camus, n'étant pas assez présentable avec son grotesque "grand remplacement" et ses déclarations d'amour à Marine le Pen, on nous ressort à toutes occasions les sempiternels et emberlificotés  Finkielkraut, Zemmour et autres sous-fifres de Valeurs Actuelles, du Figaro, de l'Express ou du Point.
Un vrai festival médiatique de penseurs et journalistes réactionnaires qui, selon certaines sources particulièrement comiques, seraient largement minoritaires, noyés au milieu d'une marée de journalistes de gauche ! 
Rires et giga Lol.

J'admets qu'en relisant ce billet, je me dis qu'il est assez chiant voire pompeux et pédant, mais amies et lecteurs, j'ai bien le droit de revendiquer mon droit à vous faire mourir d'ennui et d'étaler béatement ma stupidité de temps à autre : merde alors !

Je ne suis pas qu'un blogueur comique de 3ème ordre.
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PS : Ce texte étant trop austère, j'ai ajouté une vidéo complètement loufoque que j'ai croisée grâce à notre illustre Gérard Filoche, grand Maître illusionniste devant l'éternelle Arlésienne de l'unité. Merci aux auteurs de ce pastiche et aux plaisantins qui ont propulsé Serge le lama dans les phares de l'actualité.
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44 commentaires:

  1. Austère, austère, que tu dis. Tout ça s'emboîte aussi bien que papa-maman-chérubins-travail-famille-patrie.
    Je fais un lien de suite dans la boîte à cailloux.

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    1. Ouch !

      Réponse tardive. Pas pu lire les comms pendant 24 h

      Rodo, merci ! Et mort aux cons !

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  2. T'es le king du blog, enfoiré, la lumière de cette blogosphère vacillante tout à coup vidée de sa substance et qui finit par ne plus rien dire sur rien. Tu es l'idée même que je me fais d'un blog, et ce j'aimerais qu'il soit, et même ce qu'il devrait être (dictatons un peu, hein, c'est à la mode...).
    Un remue-manège, un secoue-méninges, un cri réjouissant à la face des cons et des pingres de la cervelle, une baffe dans la gueule des traditionalistes et un bras d'honneur à Didier Goux.
    Maint mous-du-genou (et du bulbe) racontent leur ennui quotidien et nous engluent dedans, d'actualité vers laquelle l'on souhaite nous diriger à de pénibles liens auxquels il faudrait forcément s'intéresser, alors que ça distrait et que ça perturbe, à la place de vivifier, de nourrir, de réjouir, ce que tu fais. Toi tu le choppes par le colbac et tu le soulèves, l'ennui quotidien, ivre, à 3h du mat, et tu leur pisses dessus, aux vains débats, aux guéguerres à deux balles,en les nourrissant sacrément plus, justement, parce que tu apportes ce qu'ils sont incapables d'apporter, la vie, là où il n'y a plus que le tuyau de l'information que tout le monde s'approprie comme un miroir pour mieux y placer sa propre gueule.
    Love, mon cui-cui, et si tu passes chez les pouilleux de ma contrée, n'hésite pas à venir boire une bolée un jour. Te refilerai de bonnet rouge du père noël.
    Biz, et bonne journée.

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    1. Très touché par ton commentaire chaleureux, Stéph.

      j'écraserais presque une petite larme, tiens ! Incorrigible sentimental je-suis...

      Trinquons à notre entente !
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  3. Triste constat, heureusement qu'il y a la bande son de Sergio pour ne pas se flinguer...

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    1. Tu sais Stéph (encore un Stéphane), bien analyser les comportements et failles de l'adversaire, c'est déjà pouvoir convaincre les tièdes... ;-)

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  4. Le singe qui monte au cocotier doit avoir le cul propre. (proverbe africain) Malheureusement on semble en ce moment avoir une fascination pour le fion plus que douteux - dire tout haut ce que l'on pète tout bas

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    1. Thierry, je sais que tu es un vrai battant. Continuons le combat ! :)

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  5. Aux stères, aux stères... que de bois pour que je me chauffe ! Au moins n'y a-t-il pas la langue du même nom. CuiCui a tout : t'as l'hure ! !

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    1. Hi hi ! En Corse, on ne court pas après, on les attend au coin du bois ! D

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  6. Très bon texte.
    Je mets aussi Causeur et Elizabeth Lévy dans le lot.

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    1. Tu as bien raison ! Quoique Causeur soit bien peu lu et bénéficie surtout du crédit de quelques intellos !
      Merci à toi et continue ton blog, le rythme et le fond sont parfait ! ;-)

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  7. La plupart des sympathisants du Front national que je connais détestent le programme économique du parti de Marine le Pen car ils le trouvent bien trop à gauche.
    Assurément les électeurs du FN ont logiquement hérité de l'idéologie économique du libre marché. C'est pour cette raison que ce parti porte de lourdes contradictions qui ne sont pas suffisamment exploitées par des journalistes toujours plus médiocres.

    Les cadres moyens et supérieurs malgré leur appétence pour les théories xénophobes du FN ne voteront jamais pour un programme économique d'influence selon eux, gauchiste.
    Là est le défaut de la cuirasse de ce part.
    Bien vu.

    JL Riquier

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  8. Espèce de crevure.
    Vous n'arrêtez pas de caricaturer de braves gens qui n'ont pour seul vice celui d'aimer follement leur pays.
    Lorsque nous aurons pris le pouvoir, je vous promet que vous serez un des premiers à payer très cher.

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    1. Mon cher sainte croix, ce blog est un mélange de genre entre des "réflexions" dites avec humour et de la dérision déclinées sérieusement.
      Même moi, je ne sais plus où commence et s'arrête la caricature.

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  9. Pas mal mais attention de ne pas confondre réactionnaires et libéraux. Les libéraux sont les partisans de la liberté individuelle jusqu'au paroxysme
    Les réacs dont figés dans des postures traditionnalistes mais bizarrement adhèrent aux théories économiques libertarienne. Comme vous le soulignez, c'est une posture particulière qui montre surtout que le réac n'a pas compris la transformation du capitalisme de papa en un capitalisme financier mondialisé et peu identifiable. L'antithèse absolue du vieux capitalisme de propriétaires connus.

    Daniel D

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  10. Lama... l'amasser les lamentations... lamasserie du Tibet pas connaître lama des Andes...
    Mais le tramway de Bordeaux si, grâce au futé Yves Réac qui - liberté du commerce en credo - exporte le beau Serge de Quito vers Lhassa, avec transit à Bordeaux, puisque, cocorico, la France Éternelle a fait de Bordeaux le vaste bordel du libre commerce, commencé là(sans ma) par le juteux commerce-du-bon-temps-des-colonies-esclavagistes...Amen... du pèze...

    Est-ce cela, oh gazouillant Cui-Cui, que tu voulais nous dire ?
    En tout cas, c'est ce que j'en ai compris !

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    1. Non. Mais si tu as compris ce que tu me décris, alors tant mieux.

      Depuis les quelques 5-6 ans que je rédige des billets plus ou moins foireux, je suis très surpris par l'interprétation qu'on en fait et les doubles sens perçus mais non volontaires.

      Du coup, je rigole dans ma barbe quand on demande à des critiques ou des étudiants de décrypter la complexité du texte d'un auteur. Je suis presque persuadé qu'on se plante dans 50 % des cas sur les intentions de l'écrivain !
      En tout cas merci, ami.

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  11. Votre portrait me semble confondre réacs butés sur la tradition et libéraux plus modernes de mœurs.
    Ce papier n'est pas votre meilleur. 7/20

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  12. Le problème n'est pas tant les réactionnaires, que les libéraux, précisément. Les seconds ne sont que des destructeurs, à la différence des premiers, et des anarchistes qui ont une véritable autre vision de la société et de l'avenir. On le confond souvent, l'anarchie n'est pas l'envie de tout casser, mais le souci de ne pas se faire imposer arbitrairement par des "élites" le plus souvent autoproclamées des choix et des tâches aberrants. Car l'autoproclamé peut fort bien, vicieusement, exiger du peuple qu'il le confirme dans sa supériorité grâce à un vote qu'il aura su orienter à son avantage.

    L'anarchie, "ya kçà de vrai" !

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    1. L'anarchie réclame tellement de rigueur morale et de tolérance, qu'elle me semble actuellement bien utopique...

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    2. Proudhon disait simplement: "L'anarchie, c'est l'ordre moins le pouvoir"
      Robert Spire

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  13. La mode des émissions de radio les auditeurs ont la parole ou la profusion de chroniqueurs "politiquement incorrects" ou le lancement en fanfare de l'identité nationale par Sarkozy, des blogs nationalistes et plus ou moins ethnoracialistes.
    Raisons concommitantes pour expliquer une décomplexion ambiante assez abjecte. Bon texte bien écrit.
    Julien

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  14. @ Julien
    Effectivement, la parole laissée dans les radios aux auditeurs les plus racistes au nom de la liberté d'expression me parait une tentative très pousse-au-crime.

    Reste à savoir dans quel but les radios, très fliquées et très filtrées, laissent passer ces commentaires.insupportables ? Qui décide de tels choix ?

    Ce sont de vraies questions.

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    1. La réponse est assez simple: tout sauf le socialisme.

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  15. Sont-ils réellement si décomplexés nos réacs d'aujourd'hui?...Par définition le réac est sans complexes. Ce qui m'étonne le plus c'est qu'ils sont toujours aussi nombreux d'une génération à l'autre.

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    1. Il faut bien avouer qu'à l'aune de certains caractères génétiques, l'hérédité joue un rôle considérable.
      Et comme leurs familles sont nombreuses...

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    2. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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    3. Tu veux dire l'hérédité sociale et culturelle: l'habitus. Car du coté génétique, il n'existe pas de gènes de la connerie, ni de l'intelligence d'ailleurs. Comme le dit Brel dans une de ses chansons, on devient généralement réac en vieillissant et certains vieillissent trés tôt. La génétique fait que les relations entre les hommes sont sous le joug du principe de plaisir. Et cette recherche de plaisir passe d'ordinaire par la sexualité mais aussi par la mise en place de phénomènes de dominance profondément inscrits dans nos schémas mentaux et tellement bien assimilés qu'ils sont pratiquement inconscients. En clair, le réac fait parti des "winners" ou aspire à le devenir.

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  16. Les racistes ? On les reconnaît facilement, dans tous les pays : ils sont bijambistes de père en fils. Seul problème, les non-racistes aussi, en général.

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  17. @ Rem*
    Mais qui est donc ce mystérieux administrateur du blog qui t'a sucré ton commentaire ?
    Pas moi en tout cas !
    Est-ce toi qui a effacé ton com ?
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    Sinon je suis inquiet...

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    1. J'ignore tout de ce mystérieux administrateur censeur : cela remonte à trop loin pour ma p'tite mémoire !
      Après tout c'est p'têt' moi (mais je ne suis pas, que je sache, administrateur... sinon vaguement de mes p'ti-oignons...
      Bof, t'inquiète ! On a vu pire !

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  18. Bien vu! La vidéo m'a bien fait rire :) Et les commentaires sont enrichissants, ce qui est logique, car un auteur doué ( tout à fait d'accord avec MHPA) ne peut qu'entrainer des commentateurs de talent...

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  19. Ah ça, indéniablement, j'ai de la chance avec mes commentateurs !
    Ils sont déjà très diversifiés, ils écrivent remarquablement, sont très cultivés et pertinents.
    Ce blog pourrait tenir debout, rien qu'avec les commentaires.
    Ceci dit sans démagogie !
    Merci Fifi.

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  20. Je peux mettre un bémol ?
    à chacun des traits de votre personnage de réac correspondra un réac. Mais supposons que le réac, tel que vous le décrivez, soit votre ennemi. Ou votre adversaire politique, comme vous voulez. Si vous ne le connaissez pas mieux, vous n'avez aucune chance de le convaincre ou de le combattre, ou d'enrayer sa prolifération....
    Que pensez-vous des ouvriers qui constituent l'essentiel des votants pour le FN ?
    Que pensez-vous de la proportion grandissante de lycéens, d'étudiants, de jeunes travailleurs qui disent en se cachant de moins en moins que s'ils votent, ils voteront le Pen ? Ils n'entrent pas dans les cases de votre réaquitude-study.

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    1. Il y a belle lurette que je ne cherche plus à convaincre quiconque !

      J'entends bien vos arguments mais je me fais bien peu d'illusion sur nos pouvoirs dérisoires de blogueurs face aux rouleaux compresseurs médiatiques qui non seulement simplifient à vau-l'eau mais sélectionnent leurs propagandistes qui s'expriment si bien à la télé.

      Entre une femme ou un type charismatique qui parle bien dans le poste et un individu qui rédige des billets de blog, qui convaincra ?

      Le combat est inégal. Mais qui, sur les médias dominants, parle comme sur les blogs ? Qui a dit que le nationalisme d'avant 1970 avec son économie hexagonale n'avait rien à voir avec celui de maintenant qui privilégie deux tendances contraires : le repliement sur la nation ET comble d'ironie absurde, le mondialisme économique et culturel singularisé par une économie de marché sans frontières ?

      Avouez que ce grand écart est périlleux et même rigolo tant il est incohérent. Or le FN qui défend une nouvelle doctrine économique qui ne lui a jamais correspondu a du mal à répondre à ces contradictions.
      Heureusement que les journalistes ne sont pas trop exigeants !

      Mais le comble du ridicule est atteint par l'UMP, les centristes et les libéraux qui défendent mordicus ce système à la Janus (un côté fermé, un côté ouvert).

      Pas sûr d'avoir entièrement répondu à vos interrogations mais l'esprit y est.

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  21. Si, si. Un blogueur tout seul n'a pas de pouvoir, c'est à voir... c'est comme un électeur tout seul. Les revues de presse, et les media ne dénient pas le pouvoir des blogueurs et des réseaux sociaux, mais à part quelques blogs phares et quelques loupiotes dissidentes, c'est plus un pouvoir de masse, de marée qui monte et qui descend. Regardez la fameuse page facebook de soutien au bijoutier. Quoiqu'on en pense, on ne peut nier la puissance de cette initiative. Et cette initiative n'est pas lisible avec une grille de lecture simplifiée, "les réacs" "les racistes" les poujadistes". C'était le sens de ma remarque.

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  22. Oui oui. Il m'arrive d'avoir tendance à généraliser un peu hâtivement. Cependant il existe des tendances dures propres à certaines catégories.
    De même que chaque politique a avalé un clown ou chaque homme possède une part de féminin en lui, chaque réac doit cacher sa part de gauchiste honteux.
    Pareil pour les gauchistes dont on sent parfois certains friser avec une idéologie ambiguë.

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