jeudi 22 mai 2014

En exclusivité mondiale : les raisons d'une erreur de la SNCF .

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Cuicui info, toujours à la pointe de l'actualité a retrouvé monsieur Jacques Picard, polytechnicien, responsable  de la conception des 2000 rames de la SNCF

Celui-ci  nous a expliqué ne pas avoir compris les raison de cette erreur qui risque de coûter très cher à la collectivité. Il a ajouté : "je me base toujours sur le nombre de passagers assis sur une largeur de wagon , aussi je pense que l'erreur ne peut pas venir de moi, non seulement j'ai un compas dans l'œil mais de surcroît mon tour de taille me sert de triple mètre étalon ! Les responsabilités doivent se situer ailleurs !"


Monsieur Picard, surpris dans son plus simple appareil, à son réveil.

Alors qu'il recevait par accusé-réception son avis de licenciement ainsi qu'une demande de remboursement de 15 milliards d'euros de la part de la SNCF, monsieur Jacques Picard s'est plaint auprès du comité du personnel de la trop riche teneur en beurre et en jambon des sandwiches SNCF dont il avoue avoir un peu abusé.

"Polytechnique n'est pas une école d'imbéciles" nous a  t-il lancé, scandalisé par le mauvais procès qui lui est fait, "la preuve : des tas de dirigeants capables gèrent très mal de nombreuses entreprises françaises et on ne leur dit rien !"

Monsieur Jacques Picard nous a avoué par ailleurs, avoir postulé chez Renault au poste d'ingénieur-concepteur d'un véhicule hybride de petite cylindrée pour remplacer la "Twingo". Son embauche aurait été pratiquement acceptée par la direction du constructeur automobile.

Pour être complet, il existe toutefois d'autres versions de responsables de la communication de la SNCF.


De notre envoyé spécial, @cuicuinrv  le 22/5/2014  Copyright ltd Cuicui corp 
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23 commentaires:

  1. Vous auriez pu avoir la délicatesse de me demander mon autorisation, avant de publier une photo de moi…

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    1. C'est une coïncidence : j'ai tapé sur Google :"homme lr plus gros du monde".
      J'ignorais que vous déteniez ce record.
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    2. J'ai l'habitude de rester très discret sur mes performances, et ce afin de ne pas déclencher les jalousies…

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  2. Cette stigmatisation des personnes pesantes ou des problêmes dramatiques de l'obésité me semblent déplacée. On ne peut et ne doit pas se moquer de n'importe quels maux.

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    1. L'expressiin "personnes pesantes" pour dire "gros" m'a beaucoup fait ricaner.
      Typique d'un époque ou on n'apelle plus un chat, un chat mais un félin domestique et familier et oú la mort devient la :disparition" ou le "décès" moins évocateurs...
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    2. Ici, c'est non seulement faux derche mais symptomatique d'une ignorance crasse du français, dans la mesure où une personne obèse et une personne pesante sont deux choses totalement déconnectées l'une de l'autre : bien qu'on puisse parfaitement être les deux, une personne pesante peut peser soixante kilos toute mouillée, tout en restant infiniment pesante… si vous devez supporter sa compagnie.

      Sinon, méfiez-vous : quand on commence à ricaner des aberrations langagières de l'époque, c'est qu'on est déjà engagé sur la pente savonneuse du réactionnariat !

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  3. On t'a connu plus inspiré.
    FP

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  4. ''ffectivemaiin, ce matin c'est du lourd ! Je m'inquiète surtout de ce qui va se passer avec le matériel roulant un peu plus ancien, donc plus étroit : combien de personnes chargées de bagages risquent de voir leur jambe dramatiquement coincée entre le wagon, et le quai raboté comme les budgets de l'éducation nationale, et dont la délicate constitution n'aura même plus la peau lisse.... il faudra bien le délimiter, le marquer, quitte à avoir un quai pie faute de robustes porteurs....

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    1. J'adore tes commentaires complètement décalés, Jean-Claude !
      ;-)
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  5. En fait, il était nécessaire d'agrandir les quais français pour les mettre aux normes, de toutes façons , si j'ai bien compris. Et là, j'aime assez l'humour de Didier Goux :) Personne , dans ce blog, n'a l'esprit à se moquer des personnes atteintes d'obésité , dont nous connaissons tous les problèmes dramatiques auxquels nous compatissons , tout comme Cui-cui, j'en suis sure.

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    1. Mais bien sûr ! Je me moque bien suffisament de moi pour pouvoir rire des autres !
      ;-D
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    2. N'exagérons rien : le seul vrai problème d'un gros c'est qu'il a besoin d'un miroir à chaque fois qu'il lui prend l'envie de voir sa bite. Pour le reste, ça va.

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  6. tu devrais poser une autre "comparaison" pour illustrer l'erreur de mesure de la SNCF, le problème de l'obésité reste tout autre

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    1. Ayant vécu de très dur moment, comme toi, je le sais bien, rien n'été pire à mes yeux que de ressentir la pitié et le fait de n'avoir pas pu être traité comme les autres.

      Traiter l'autre comme un infirme selon moi, est la pire des humiliations et le comble du rejet.
      Bisous.

      :-)
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    2. Mais enfin, traiter quelqu'un comme un firme ne signifie pas forcément qu'on le rejette ! Cela veut d'abord dire que l'on prend en compte son infirmité. Par exemple, si j'aide un aveugle à traverser l'avenue, je le traite comme un infirme, ce n'est pas pour cela que je le "rejette", bien au contraire.

      (En revanche, si je l'abandonne brusquement au milieu de l'avenue en question, là c'est dégueulasse.)

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    3. rhoooooo non moi je suis toujours "pas mal roulé" j'ai juste un truc qui me fait mal quand je vois des grosses gens sur des photos mon fils a tellement souffert au lycée a cause d'une maladie , mais bon c est du passé il est tout beau à présent bises Cuicui

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  7. Ce monde hygiénique oú il est impossible de causer de n'importe quoi sans subir des remarques de désapprobation est invivable.Continuez cuicui Ne cédez pas à l'autocensure sinon vous perdrez votre pertinence et votre causticité.
    Roger la frite

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  8. Autrement, ce billet s'est révélé comme un bide total, niveau audience.
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    1. En général, ce sont les meilleurs. Bon, pas là, mais en général oui.

      C'est peut-être les pollens dans l'air qui font ça : les deux derniers miens sont parfaitement consternants.

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  9. Prendre le bide comme unité de mesure, c'est s'exposer... :)

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  10. Le bide, c'est bidon. Parfois l'hirondelle ne fait que frôler l'eau, parfois le regard semble ne pas s'attarder, pourtant le message est passé. La Vie semble ne pas s'arrêter, comme l'infatigable abeille.Le présent est la projection d'une seconde passée, et la promesse d'un avenir aux mille avenirs. Le présent emplit la vie de son éphémère omnipuissance. C'est pourquoi tout écrit, même perfectible, est le caillou du petit poucet qui relie à l'immensité de ce qui fut et continue à bondir vers l'avenir.

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Laissez-vous aller à votre inspiration, sans limite ! J'ai le cuir épais, le front étroit et la vue basse...

La seule limite aux débordements : la loi....

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