jeudi 7 juillet 2011

Famine et plat de nouilles aux truffes à 100 $. Afrique et dépendances.

Je sais : ce sujet dérange...

Et pourtant.

Famine et plat de nouilles aux truffes à 100 $.  Afrique et dépendances.


Il y a longtemps, ayant passé quelques années difficiles dans un pays d'Afrique de l'Est, je me  demande encore avec effroi comment la vie humaine a pu s'y développer.

Une chaleur intense.

Peu  d'eau.

Des pierres à perte de vue. Quelques maigres arbustes.

Des moustiques le long du littoral de la mer rouge. Des scorpions, des araignées, des hyènes, des singes cynocéphales, sortes de babouins,  les canines longues comme celles des lions, qui gardent jalousement leurs points d'eau et qui vous lancent des pierres du haut des falaises quand vous stationnez trop longtemps au bord de l'oasis. La rage et l'agressivité qu'ils montrent sont instinctives,  il en va de leur survie. L'eau vaut tout l'or du monde dans ces contrées. Pour eux, un seul choix : se battre ou crever. Ils lutteront.  Il est prudent de reculer.

Des nomades parcourent ce désert de cailloux volcaniques très vallonné , avec des fusils du genre "chassepot" pour toute arme. Ils chassent quelques gazelles, ça et là.  Des filles incroyablement jeunes de 12 à 14 ans avec des nourrissons. . Elles ont été excisées et ont subi une infibulation qui les a mutilé pour le restant de leur courte vie. Ils parcourent cet enfer avec leurs caravanes de dromadaires, plantant une sorte de yourte en des lieux qu'ils connaissent depuis toujours.
Une existence épouvantable, courte, injuste, terrible.

Du courage. De la fierté. Une force morale inouïe en même temps qu'une infinie faiblesse qui émeut l'occidental que je suis.

Nos ancêtres lointains ont vécu ces longues errances avec les mêmes vertus et la même modeste bravoure . Nous avons tout oublié...


Plus loin, aux abords, des villes, les décharges publiques, une odeur exécrable. Des milliers de familles viennent recueillir les denrées avariées rejetées par les citadins.
Des mouches. Des millions de mouches qui viennent se coller aux commissures des lèvres, au bord des paupières, dans le nez, à l'intérieur des oreilles. Des gamins, avec des pelles qui trient les ordures. Des rogatons de viande couverts de mouches. Un bourdonnement incessant. Une odeur pénétrante de décomposition. Une puanteur écœurante.

Une moiteur enveloppante. La chaleur humide est telle que les restes avariés pourrissent en quelques heures.

Et pourtant des gens se nourrissent de cette infâme pourriture. Ils n'ont guère le choix. C'est encore une question de vie ou de mort. Dans ces pays le concept de "survie" est quotidien.

Se nourrir pour survivre. Survivre pour se nourrir. Un cercle maléfique. Le destin effroyable d'être né au mauvais endroit. Impuissance tragique.

Même pas de désespoir, de récriminations, de reproches. Des rires d'enfants. L'occidental que je suis ne comprend pas cette absence de révolte, cette résignation devant une telle injustice.

Que feriez vous à leur place ? Dans ce pays, probable berceau de l'humanité, près des restes de Lucy, les conditions de vies sont devenues inhumaines.

Famine et plat de nouilles aux truffes à 100 $.  Afrique et dépendances.

En ce moment une terrible famine sévit dans la corne de l'Afrique. Une sécheresse exceptionnelle est en train de décimer des populations entières.
Ami(e)s, nous ne pouvons pas rester les bras ballants à disserter sur le prix astronomique d'un plat de nouilles aux truffes englouti par un individu.

L'Homme, la Politique dans son sens le plus noble, méritent mieux.

Il nous faut sauver ces humains en perdition. Il nous faut les aider comme ils vous accorderaient l'hospitalité si vous étiez perdus. Il nous faut montrer un peu de fraternité. Nous avons le devoir de secourir ces populations qui souffrent de la faim.


Qui pourrait nier ce scandale innommable ; en 2011, où des milliards de dollars sont gaspillés à tort et à travers, où quelques dirigeants gagnent des sommes astronomiques, où les coûts des campagnes électorales atteignent des sommets inimaginables ; de laisser des êtres humains crever de faim ? Pauvres gens  qui ont eu la malchance de naître au mauvais endroit  ?

On ne peut pas rester insensible. 

En ces instants, la politique hexagonale nous parait bien dérisoire, n'est ce pas ? Toutes ces histoires sans intérêt avec ces individus dont la motivation principale est une ambition forcenée.

À côté d'un tel drame.

74 commentaires:

  1. Je m'abonne aux commentaires pour voir ceux de Didier Goux...

    RépondreSupprimer
  2. Moi je reprendrais bien un peu de truffes! mais pas trop hein? je sais rester raisonnable moi monsieur ... bon sinon il faut donner d'ailleurs j'ai une idée! je vais copier le lien de ton billet et le refiler à tous nos puissants par le biais de twitter!! voila comme ça ils ne pourront pas dire que tu ne les avais pas prévenu.

    RépondreSupprimer
  3. Chaque fois que j'entends parler de famine en Afrique, je ne peux m'empêcher de repenser à cette campagne-pour-rire lancée par Hara-Kiri il y a une grosse trentaine d'années : ils avaient photographié une épaisse tranche de jambon, séparée en deux par un trait d'encre vertical et médian, comme une carte postale. Dans la partie droite, en haut, ils avaient collé un timbre et, dessous, l'adresse était ainsi libellée :

    Bamboula

    Afrique

    À mon avis, un journal satirique – fût-il de gauche ou d'extrême – qui se permettrait aujourd'hui ce genre de palinodie, se retrouverait directement à la case prison après passage éclair au tribunal de la bonne pensée.


    (Ce commentaire était pour faire plaisir à Nicolas.)

    RépondreSupprimer
  4. euh sans faire chier c'est "you'RE welcome" enfin JDCJDR

    RépondreSupprimer
  5. @ Nicolas

    Bien vu ! Mon blog est un piège à Goux ! (drôle, non ?)

    @ ThierryRégis

    Sincèrement, ta présence répétée,ici, m'honore (sans pontifier) et me fait très plaisir. Merci infiniment.



    @ Didier Goux

    Je les connais par cœur les vieux réacs. Mon père en était un. Je connais parfaitement leur culture : les bibliothèques de ma maison étaient et sont toujours remplies de Rebatet,de Céline, de Brasillach, de Barrès, de Drieu, de Maurras, d'Alexis Carrel, de Galtier Boissières et autres polémistes d'extrême droite bien pires... J'ai même hérité de vieux "Crapouillot" et des premiers "Minutes". Sans compter les torchons fachistes de la littérature d'avant-guerre.

    Inutile de noter que la violence y était autrement plus présente qu'actuellement. Vous et vos partisans feriez figure de gamins anémiques sans talent si vous aviez écrit à cette époque.

    Il est de bon ton de jouer au cynique dans cette famille de pensée, de faire le fanfaron, de plastronner dès qu'on aborde ce sujet, de simuler le mec droit comme un I majuscule, détaché de la pauvreté qui pue autour de lui.

    Mais ce sont des mots, tout ça ! Vous pensez si je les connais, les forts en gueule de l'extrême droite !

    J'ai côtoyé des situations, que visiblement, vous n'avez jamais vécues. Je suis certain que si vous aviez été auprès de moi ou si vous aviez assisté à de telles scènes, vous ne vous exprimeriez jamais comme ceci.

    Vous êtes un type intelligent, Goux : alors de grâce, ne sombrez pas dans la facilité et la morgue bourrue du type qui n'a vécu que dans un confort de petit bourgeois rance sans expérience et qui affiche avec condescendance son mépris pour tout ce qui est humanitaire...

    PS : vous devriez vous abonner à ce blog qui semble vous attirer comme l'odeur du sang appâte les requins. Je me demande bien pourquoi. ;-)

    RépondreSupprimer
  6. Alors là, c'est ce qui s'appelle taper à côté ! Depuis quand Hara-Kiri était-il un brûlot d'extrême-droite ? Pour le reste : Brasillach et Drieu m'emmerdent, Céline presque autant, je n'ai jamais lu une ligne de Carrel ni de Galtier-Boissières ni de Maurras. Barrès d'accord, mais en le mettant dans le même sac que Maurras, c'est vous qui prouvez que vous ne l'avez pas lu, ou fort mal.

    Pour ce que j'ai pu vivre ou non, vous n'en savez rien, donc taisez-vous sur ce sujet. Une chose est certaine, je déteste par-dessus tout les belles âmes qui discourent sans fin sur la misère avec de beaux sanglots retenus dans la voix : c'est pour moi le comble de l'obscénité.

    Seigneur, que de vertus vous nous faites haïr !

    RépondreSupprimer
  7. @ Didier Goux

    De grâce, arrêtez de jouer au professeur de littérature, mon cher ami !

    Endossez votre rôle d' intello de droite qui étale sa suffisance devant ses grenouilles ébaubies mais, par pitié, pas avec moi !

    Tout montre, dans ce que vous dites et écrivez que vous êtes un érudit, certes, un rat de bibliothèque, je ne le conteste pas, mais certainement pas un bourlingueur.

    Vous avez un jugement sur tout mais vous ne connaissez rien.
    Je m'en étais aperçu lors d'un échange avec vous sur les banlieues que je fréquente quotidiennement.
    C'est la raison de votre agressivité. Je sais où se situe votre point faible : une terrible absence d'expérience.

    Parler de l'Afrique n'est sûrement pas obscène.

    J'ai décrit une réalité que vous ignorez, c'est tout. J'ai rédigé ce billet pour attirer l'attention sur une situation inadmissible, c'est tout.

    Mais cela vous renvoie à vos lacunes !

    Je n'ai pas d'autre prétention : je suis un blogueur quasiment inconnu et qui le revendique. Je n'attends rien d'Internet sinon, le plaisir d'être parfois parcouru, sinon lu.

    Je ne suis pas à la recherche d'une reconnaissance intellectuelle comme vous, qui gémissez d'extase du fait d'être cité par Le Monde, invité aux côtés de Finkielkraut ou convoqué par l'immense Gérard de Villiers !

    Vous me rappelez ces plumitifs aigris, persuadés d'être des génies méconnus et maudits de leur époque, qui, pour se singulariser, se découvrent toujours "pour ce qui est contre et contre ce qui est pour". C'est la voie royale pour vous créer une audience et une identité, du reste.

    La réaction à ce point n'est plus une doctrine : c'est un mal-être.


    Prenez donc une tisane ou à défaut continuez à lire Corneille pour vous calmer et allez y de vos citations pour étaler votre savoir...

    Étalez, étalez, il en restera toujours quelque chose !

    RépondreSupprimer
  8. Nicolas : je crois que vous avez bien fait de vous abonner aux commentaires, ça vaut le coup.

    Bon, allez, un dernier pour la route : Cui cui, c'est VOUS qui m'avez balancé des écrivains à la tête, pas moi ! Je ne suis pas un bourlingueur, dites-vous ? Oh ça non, alors ! Mais je ne vois pas en quoi le fait de “bourlinguer” vous donnerait automatiquement une meilleure connaissance des choses et des gens : vous sous-estimez le poids de vos œillères idéologiques. Du reste, je connais des gens qui vivent depuis cinquante ou soixante en France et qui ne comprennent strictement rien à ce qui s'y passe. Par conséquent, ce n'est pas parce que vous êtes allé livrer trois sacs de riz aux Somaliens que cela vous donne la science infuse.

    (Ce que je dis pour l'Afrique vaut pour Montfermeil ou Champigny, bien entendu)

    Et il va de soi que ce n'est pas parler de l'Afrique qui est obscène (même si le sujet m'emmerde profondément, c'est vrai, n'en ayant rien à faire), mais une certaine manière d'en parler.

    Pour ce qui est de ma soif de reconnaissance intellectuelle, il faut que vous soyez particulièrement inaccessible à l'humour pour citer les exemples de Finkielkraut et de GdV.

    Quant à vos fantasmes à propos de ma prétendue culture (desséchée, forcément desséchée, par rapport à votre si vivifiante et sacro-sainte expérience), ils ne révèlent que le complexe que vous avez développé à partir de vos diverses ignorances, ou ce que vous prenez pour telles. C'est le ricanement de l'inculte, mal camoulé par une modestie hâtivement bricolée et revendiquée un peu trop fort pour sonner juste.

    Et puis, si vous voulez polémiquer, essayez au moins de taper juste : génie méconnu, moi ? Écrivain aigri ? Mais je passe mon temps à détromper ceux de mes commentateurs qui s'obstinent à voir en moi un écrivain !

    Je suis un écrivain en bâtiment, sans le moindre talent littéraire mais avec un savoir-faire qui lui permet de manger plus souvent des pâtes aux truffes (et non des “nouilles”, mot qui sent son prolo-formica, tout de même !) que des sauterelles frites et du sorgho. C'est mal ?

    De toute façon, nourrir des Africains, je le fais déjà : par mes impôts qui vont directement aux éternels subventionnés de l'assistanat dont vous semblez faire partie. Rosny-sous-Bois a besoin de moi, Mogadiscio attendra.

    RépondreSupprimer
  9. j'ai "vécu" 3 mois au Sénégal en 85. Je rêvais de l'Afrique depuis mes 10 ans. (je voyage depuis l'âge de 4 ans). En 2007 j'avais pris la décision de partir 6 mois… mais où. Après reflexion j'ai choisi l'Asie du Sud-Est, car l'Afrique et sa pauvreté me faisait peur.
    Je croise une femme que je trouve belle, je lui dis, lui demande d'où elle vient, me répond Cameroun. Je lui dis deux mots de ma peur de la pauvreté. (J'ai entendu et lu que les gouvernements donnent la terre pour rien aux Chinois.) Elle m'explique que non seulement j'ai eu raison, que l'Afrique c'est appauvrie et que les Chinois sont les pires que les Occidentaux ont fait subir en matière d'esclavage et de colonisation. Malgré tout elle reste aveugle à "ses gouvernants". Enfin pas tout à fait car elle parle aussi de la corruption de ceux-ci…

    RépondreSupprimer
  10. … suite.
    La peur de l'immigration venue d'Afrique, ici, est ignoble.
    Ils ont l'impression, la peur (c'est surtout la peur leur grande motivation) d'être envahis. Les cons.
    Ils ne réfléchissent à rien. Ils ne savent pas que tous les Humains sur terre ont les même sentiments : ils aiment leur terre, leur famille, leurs amis, ils n'ont tous qu'une idée rester avec eux dans l'affection, le respect, le souvenir de l'enfance de ce qu'on à fait là…
    Ceux qui viennent sont les plus téméraires. Il le faut. Comment sinon prendre un tel risque de mourir à tous les tournants, accidents pour enfin arriver là, en France ou ailleurs.
    Ils n'ont qu'une idée, retourner chez eux.
    Ils n'ont qu'une idée, nourrir les leur
    … alors les montrer en boucs-émissaires de toux nos maux est à courte vue… et marche.
    Quoi de mieux que de faire se battre les pauvres entre eux… ils en oublient les principaux coupables… les riches… qui possèdent et s'approprient pour rien le travail des autres

    RépondreSupprimer
  11. @ Annie :

    Merci de remettre les pendules à l'heure ^^ Je n'ajouterai qu'une précision : la misère est partout , même près de chez nous , mais nous avons des devoirs envers l'Afrique dont nous avons bien abusé.
    Merci à Cui-cui de le rappeler ...

    RépondreSupprimer
  12. Nicolas : ne faites pas la fine bouche, c'est vous qui avez provoqué !

    Cui cui, voyez la belle illustration de ce que je disais : voilà une dame d'un certain âge qui dit voyager depuis sa quatrième année. Et tout ce qu'elle a appris c'est que les pauvres sont tous des gentils et les riches tous des méchants. Et aussi que les hommes sont tous pareils partout.

    À ce compte-là, je préfère rester chez moi à essayer de réfléchir. Et avec l'argent que j'économise en n'allant pas polluer la planète par mes déplacements incessants et imbéciles, je me gave de pâtes aux truffes, ce qui me donne une belle silhouette d'Occidental nanti et exploiteur de négrillons au sourire si doux.

    RépondreSupprimer
  13. Mamie rebelle : remettre une pendule à l'heure ne sert rigoureusement à rien si vous n'êtes pas capable d'en remonter le mécanisme.

    RépondreSupprimer
  14. @ Didier Goux : Je suis une mamie qui sait faire du vélo ... de chambre ^^

    RépondreSupprimer
  15. il est connu de tous que tous les avantages sociaux : sécu, congés payés, 40 heures… ont toujours été donné spontanément par les patrons… même les ouvriers et employés se sentaient débordés par tant de générosité,
    quant à l'esclavage ce sont les ouvriers qui allaient chercher les noirs dans la savane et les chargeaient sur les navires pour les transporter de l'autre côté de l'Atlantique
    les noirs Américains leur en veulent d'ailleurs dans une juste raison,
    Nantes, Bordeaux sont des villes pauvres… aucune accumulation du capital, pas de bâtiments magnifiques, aucun trafics triangulaire…
    mais non c'est une erreur des historiens qui sont tous dans l'erreur : ce sont les ouvriers et employés les vrais coupables…
    de même pour les camps, les juifs demandaient à monter dans les wagons.
    enfin il est connu de tous que le malheur du monde est toujours la faute des pauvres

    RépondreSupprimer
  16. Arf ! Me revoilou !

    Je vais lire et je réponds.

    RépondreSupprimer
  17. @ Didier Goux

    Je dis "nouilles" car il se trouve que ce terme semble plus littéraire et parce que "pâtes", ça fait téléspectateur de TF1. Ils mangent tous des pâtes et de la pizza, les sportifs en chambre. Je n'aime pas le conventionnel branchouille mode . Vous me décevez, Goux.

    Quant à mon "ignorance" supposée et les éventuels prébendes que je suis susceptible de recevoir en guise d'assistanat, ils n'existent que dans votre imagination.

    Je travaille à mon compte et n'ai besoin de personne pour survivre.

    Ici personne n'est censuré. Même si on m'insulte. C'est un de mes principes.


    @ Annie

    Bien sûr ! Il vaudrait mieux aider les peuples à leur développement sur place ! Je ne comprends pas comment certaines personnes peuvent imaginer que les immigrés viennent en Europe par plaisir !

    L'Europe, c'est gris, sale, moche, froid, fliqué, pas accueillant, le travail y est une valeur obsédante (on se fait tellement chier, ici) et on voudrait nous faire croire que les immigrés viennent ici la fleur au fusil !


    @ Mamie Rebelle

    Pour dire, moi le Corse, je préfèrerai vivre là-bas que dans ces banlieues grisâtres. Quant aux valeurs de Goux, ne vous en faites pas, elles se délitent jour après jour.

    Lui-même n'est plus qu'un vestige. Gardons le précieusement pour montrer aux enfants ce qu'on peut devenir lorsqu'on pense de travers !


    @ Nicolas

    Tu sais, dans mon ancien blog, tu as peut-être pu l'observer autrefois, les bagarres étaient infiniment plus violentes ! D'ailleurs, je m'aperçois que les affrontements me manquaient !

    RépondreSupprimer
  18. Putain ! Ouvre ton blog à la version Mobile (vous aussi, le vieux). Commenter au bistro est une galère.

    Ton ancien blog ? Je connais pas (ou plus précisément je n'ai pas fais le rapprochement)) le village ?

    RépondreSupprimer
  19. @ Nicolas

    Oui, le Village. Je vais mettre l'option mobile si je la trouve.

    RépondreSupprimer
  20. Ça marche ! Il faut que j'appelle le vieux pour lui dire comment faire.

    Le village. Je suis pas sur le cul mais presque.

    RépondreSupprimer
  21. Bon billet, sacrée empoignade ! Il existe encore, le Village ?

    RépondreSupprimer
  22. @ Le coucou

    Le village des nrv sur 20 minutes survit (3 billets/mois). Quelles bagarres, quelle violence ! Bon Dieu.

    Qu'est ce que je dégustais comme insultes ! J'en distribuais également quotidiennement !

    Marrant comme on apprend à être méchant sur les blogs.

    En plus, je rédigeais pas mal de billets aussitôt déchiquetés par les critiques.

    Au bout de 2 ans, j'en ai eu marre, je me suis cassé. Désormais, ce blog collectif est moribond...
    Pas mécontent de l'avoir abandonné. -DDD

    J'aime bien Internet pour ses confrontations mais certains sont paralysés par l'agressivité qui se dégage des rapports humains.

    À bientôt, Le coucou et merci de tes commentaires..

    @ Nicolas

    Impeccable !

    RépondreSupprimer
  23. Annie : il est bien connu que les patrons français allaient chercher eux-mêmes leurs esclaves au fin fond de la brousse, sur leurs petites jambes. Et il faut être vraiment un sale réactionnaire “pensant de travers” pour suggérer que, peut-être, ils se contentaient d'attendre dans les ports que d'autres Africains viennent gentiment les leur vendre.

    Quant à la traite des Arabes, qui existaient alors depuis près de mille ans, je sais qu'il est de bon ton de n'en point parler : ne soyons pas stigmatisants envers ces pauvres musulmans qui ont déjà tant souffert…

    Cui cui : qui a dit que les immigrés venaient ici PAR PLAISIR ? Ils y viennent par intérêt (ce qui est parfaitement normal), sachant bien que nous sommes devenus trop mollassons pour rien leur refuser.

    Quant à vos enfants, ce que vous aurez à leur expliquer sera, j'en ai peur, beaucoup moins drôle. Mais comme vous vous flattez, à juste titre, de “penser droit”, vous vous contenterez sans doute de la version officielle du moment, comme vous le faites déjà.

    Et je trouve amusant de vous entendre dire que mes “valeurs” se délitent (je n'ai pas de “valeurs” : j'essaie juste, très modestement, de me conformer à une morale) au moment où, dans pratiquement tous les pays d'Europe, les gens qui partagent ces “valeurs” réalisent des cartons aux élections, et notamment auprès de ce peuple que vous feignez d'idolâtrer mais qu'en fait vous méprisez – au point de vouloir le remplacer par d'autres, que vous estimez à tort plus dociles à votre idéologie démente et mortifère.

    RépondreSupprimer
  24. Cuicui, tu veux pas faire un petit billet sur le sort des ouvriers ouzbek dans les mines de charbons et la maltraitance de leurs femmes qui doivent blanchir leurs fringues tous les soirs ?

    RépondreSupprimer
  25. Et je déclare solennellement la fin des hostilités entre Didier et Cuicui !! http://t.co/WuOLA8b

    RépondreSupprimer
  26. Oui, ça m'arrange : j'ai mes vingt pages à écrire d'ici six heures du soir et, si je continue à venir faire le guignol brun ici, je vais me vautrer…

    RépondreSupprimer
  27. Ah le cynisme des petits mecs surprotégés du tertiaire...L'avorton (sans) Goux qui bombe son torse rabougri alors qu'un seul petit coup d'épaule le réduirait illico au silence.

    RépondreSupprimer
  28. J'adore ces crétins qui viennent bomber le torse en accusant les autres de le faire mais n'ont même pas les couilles de signer leurs messages...

    RépondreSupprimer
  29. A l'ère du 2.0, signer son message est une preuve de courage... A peu de frais. Le courage se mesure au risque pris. Ou est le danger? La menace? Que viennent faire mes couilles la-dedans?
    Le cynisme facile est l'exact pendant de l'angélisme niais, ils évoluent dans le même univers et sont parfaitement complémentaires.

    RépondreSupprimer
  30. Et très con en plus. Comment veux tu qu'on attache de l'importance au message que tu veux faire passer si tu ne dis pas qui tu es. Tu n'es que risible.

    On ne te demande pas de décliner ton identité, ton adresse et la taille de ta bite, juste d'utiliser un pseudo qu'on puisse t'assimiler à autre chose que rien, ce que tu es pourtant, probablement.

    RépondreSupprimer
  31. On attache, on demande...
    On, c'est toi je suppose..? Puisque tu as des grosses couilles 2.0, écris "je", mon petit.
    Quant à la signature, j'avoue que je me soucie peu de savoir si c'est "pauvre merde", "abruti", "crétin fini" ou même "Nicolas".

    RépondreSupprimer
  32. Je n'écris "je" que quand j'ai envie. J'ai dit "on" de manière globale car la plupart des blogueurs sont comme moi et trouvent débile ce comportement des anonymes qui font juste penser à ces vieux cons aigris qui fréquentent les forums.

    Tu es dans un blog, mon lapin, c'est un élément de ce qu'on appelle un "réseau social"... Pour y participer, il faut être identifié, soit par un nom ou un pseudo, soit par un avatar. Un peu comme dans la vraie vie, on parle à des gens qu'on voit ou qu'on n'entend...

    RépondreSupprimer
  33. Rester anonyme est donc un "comportement"... Déviant, je présume..?
    "Pour y participer, il faut etre identifié...etc..." essaye de le prononcer a très haute voix avec un accent allemand marqué, ça marche super bien!

    RépondreSupprimer
  34. Je ne t'ai pas demandé tes papiers ! Si tu es asocial, c'est ton problème, pas le mien...

    RépondreSupprimer
  35. Et hop ! un point Godwin pour l'anonyme sans couilles !

    RépondreSupprimer
  36. Ah oui ! Tiens ! J'avais pas vu... Je fatigue...

    RépondreSupprimer
  37. Et un os pour les caniches si bien frisés, un!

    RépondreSupprimer
  38. Bon, Nicolas, vous je ne sais pas, mais moi j'arrête de perdre mon temps avec l'ectoplasme…

    RépondreSupprimer
  39. Ben là je fais la queue à la cantine. J'ai le temps.

    RépondreSupprimer
  40. Moi, je vais avoir droit à deux petites cailles préparées façon tajine…

    RépondreSupprimer
  41. Consentantes, hein, les cailles. Parce que s'il faut remplacer Lagarde au FMI, on pourrait penser à vous.

    RépondreSupprimer
  42. Comme elles ont d'abord été putes dans leur basse-cour, leur plainte ne serait pas recevable.

    RépondreSupprimer
  43. Faudrait pas qu'on fâche Cuicui. Il défend probablement les volatiles divers persécutés par le gros capital Normand.

    RépondreSupprimer
  44. Voila... Reprenez le fil habituel de vos conversations si pleines d'esprit... Et de légèreté toute teutonne.

    RépondreSupprimer
  45. Juste pour m'abonner aux commentaires (l'anonyme est génial en tous cas).

    On a un prix quand on est le 51eme commentaire ?

    RépondreSupprimer
  46. Putain, c'est déjà fini ?

    Bon billet ami Cui. Un proverbe Somalien dit :
    " quand le babouin se gratte le cul, il ne faut pas lui serrer la main ".

    RépondreSupprimer
  47. Les Somaliens, ils feraient mieux de se sortir les doigts du leur, plutôt que d'inventer des proverbes à la gland.

    Moi j'dis.

    RépondreSupprimer
  48. On ne leur fait pas la bise aux babouins? tout se perd moi j'dis!

    RépondreSupprimer
  49. AAAAARRRRRRGGGGGGGGGHHHHHHHHHHHHH!

    53 commentaires ! Ce n'est pas Dieu possible !

    Je rentre du boulot et il faut déjà m'y remettre ?

    Je vous le dis, moi : gérer un blog est un sacerdoce. C'est un vrai boulot à mi-temps !

    Et tout ça pour récolter quoi ? Des vacheries, des insultes, des leçons...

    De surcroit, mon blog n'est pas un refuge de fayots : on ne me traite pas de "maître", on n'écarte pas ses fesses pour que je pénètre plus profondément. On ne me considère pas comme un phénix, on ne me lèche pas, on ne s'applique pas dans ses commentaires pour que je lance une appréciation flatteuse, on ne me considère pas comme la 8ème merveille du monde, on ne me dit pas que je suis un auteur formidable, on ne s'extasie pas sur mon humour lorsque je lance une vanne à trois balles...

    Bref. Il me reste du chemin à parcourir. "La route est droite, mais il reste beaucoup de virages à franchir comme dirait l'autre !". Je viens de l'inventer...

    RépondreSupprimer
  50. Vous pouvez déjà éviter de vous farcir mes discussions de poivrots avec Nicolas : ça vous fera gagner un temps fou…

    RépondreSupprimer
  51. Goux, vous êtes meilleur dans la polémique que dans votre blog où tout le monde sauf Nicolas est au garde à vous... Je crains que vous ne parveniez à me convaincre et je sais que mes arguments, même s'ils sont solides, sont insuffisants pour vous faire changer de cap.

    La nature humaine est ainsi faite : chacun ses certitudes, sa conception du monde, ses peurs, sa morale, sa tolérance, son ouverture sur le monde.
    Après, c'est un rapport de force politique avec un vainqueur provisoire et un vaincu momentané...

    Autrement, en effet : il n'y a pas grand chose à commenter.

    Quant à l'anonymat, il ne m'a jamais gêné.

    Qu'on s'appelle Pierre Dubois ou cui cui l'oiseau ou la perle d'Asie ou anonyme, je ne vois pas bien où est la différence.

    Le principal, à mes yeux, étant que les intervenants s'expriment... J'aime le Net pour ça.
    Je ne bloque personne hormis les fous et les contrevenants à la loi.

    Salut à tous !

    RépondreSupprimer
  52. Mon pauvre ami, vous ne devez pas souvent mettre le nez dans les commentaires de mon blog ! J'en connais peu où l'on s'écharpe d'aussi franche manière, et où le taulier se fait régulièrement traiter de tous les noms. Mais j'aime bien la manière prudente dont vous exonérez Nicolas : on ne plaisante pas avec le numéro un apporteur de visites, n'est-ce pas ?

    Enfin, on s'en tape, hein !

    (Sinon, dans votre petite énumération, je suppose que c'est vous qui avez une “conception du monde” et moi des “peurs” ? Pour la tolérance, je ne demande pas : vous la portez en bandoulière avec une telle ostentation satisfaite…)

    RépondreSupprimer
  53. Une dernière chose pour ce soir : le pseudonyme a cet avantage qu'il permet de différencier les différents anonymes. Et puis, c'est une question de courtoisie.

    Mais, évidemment, la courtoisie doit vous sembler une valeur “de droite”…

    RépondreSupprimer
  54. @ cui cui.
    En 1978 j'ai passé quelques mois dans cette région d'Afrique que les quelques lignes de ce billet décrivent parfaitement. J'en suis revenu profondemment marqué....marqué par le comportement inqualifiable de nos militaires (légionnaires et autres para...sites).
    Robert Spire

    RépondreSupprimer
  55. @ Robert

    Moi aussi, j'ai été très choqué par nos militaires et notamment par les officiers supérieurs. Surtout ceux de Saint-Cyr : des cons finis.

    Arrogants, médiocres devant les évènements un peu dangereux, loin de leurs soldats, méprisants avec la troupe, je me suis retrouvé anti-militariste pratiquant pour cause de lucidité.
    Je me suis payé un maximum de taule et ai échappé au bataillon disciplinaire des chasseurs d'Afrique, par piston grâce au réseau Corse très puissant dans l'armée...

    J'ai compris en tout cas pourquoi l'armée française ne gagnerait jamais une guerre !

    Je ne sais pas maintenant mais il y a 30 ans, elle avait les cadres les plus cons des armées occidentales !

    RépondreSupprimer
  56. Cuicui, Didier,

    Vous devriez faire comme on a fait avec Didier : se retrouver à un comptoir. Didier a même poussé l'abnégation jusqu'à ce faire retirer son permis.

    Cuicui, regarde chez moi : tout le monde est au "garde à vous", sauf Didier. Je mets bien des guillemets parce que ce n'est pas pour ça qu'ils viennent. Ce sont devenus des potes, et je suis toujours au garde à vous devant les potes.

    Si tu regardes différemment mes commentaires chez Didier, tu remarqueras que je suis aussi au garde à bous (ce qu'il est chez moi). Ce sont ses commentateurs qui le fréquentent que j'envoie chier. Ou lui mais pour l'humour (ou pour la cuite...). Il fait pareil chez moi.

    Tout ça parce qu'on est très peu à "savoir" qu'on ne convaincra personne qui est en profond désaccord avec nous. Ça nous permet de reconnaitre quand l'autre n'a pas nécessairement tort quand il prétend qu'on a dit e connerie.

    Ainsi, je peux dire à Didier que je ne suis pas d'accord avec lui à propos de sa position sur l'immigration. Ce qui ne nous empêche pas d'etre d'accord sur certains points à propos de l'immigration. En gros je suis pour une régularisation massive parce qu'on ne peut pas considérer quelqu'un comme n'existant pas, autant je ne refuse pas d'admettre qu'une partie des maux de la société vient de l'immigration. Et les gauchistes qui de voilent la face me font chier.

    Tiens ! Un exemple ! Didier (je suppose) et moi sommes d'accord sur le fait qu'accorder le droit de vote pour les étrangers. Mais pas pour les mêmes raisons. Je considère qu'un type qui vit ici ne devrait pas etre considéré comme un étranger.

    Ce genre de nuance nous permet de discuter. Parce qu'on sait ce qui nous différencie mais qu'au fond on s'en fout.

    Je peux donc dire que le programme du parti de Renaud Camus en matière d'ecologie devrait inspirer les partis de gauche.

    Bref : Didier sommes capables de discuter entre nous parce que tous les deux savons que ça ne sert à rien, entre nous, d'avoir une longue discussion, comme vous avez eue ici.

    A ta place, au deuxième échange ici, j'aurais répondu "vous faites chier le vieux", mais je peux me le permettre sans grossièreté parce que je le connais.

    Alors je vire les mecs qui ne sont pas "au garde à vous" chez moi parce que le blogage est un loisir et je n'ai pas envie de discuter avec des clowns qui m'expliquent en 15 commentaires que Ségolène Royal est la seule à pouvoir gagner. Je n'y crois pas, basta.

    Désolé d'avoir été long mais il n'y a personne au bistro ce soir.

    RépondreSupprimer
  57. @ Goux

    Je vous rassure, Nicolas, n'est pas mon apporteur de visites le plus important. Et de loin.

    Je ne suis pas un flagorneur : ce n'est pas dans ma nature.

    Pour l'énumération, j'étais lucide et objectif : je parlais pour tout le monde, moi compris. J'ai plein de défauts mais pas celui de ne pas savoir prendre du recul.

    RépondreSupprimer
  58. @ Nicolas

    Il est long ton comm, J'ai failli le louper, en ayant tapé un juste après le tien.

    Moi j'aime bien les échanges. Contrairement à toi - je me rappelle tes opinions sur le DEL de Birenbaum - où tu jugeais qu'il y avait trop d'espace de commentaires et trop de débats entre les commentateurs (je me souviens de cette observation car elle m'avait frappé).

    Pour moi, perso, souvent l'essentiel n'est pas dans le billet même mais dans les discussions qu'il a fait naître.

    Chez Guy Birenbaum, un petit billet anodin provoquait des centaines de commentaires (je suis certain que tu t'en souviens) super intéressants.
    Tu sais, Nicolas, si le DEL a laissé une telle nostalgie, c'est, selon moi, grâce aux centaines de commentaires qui suivaient les billets de Guy...

    Les blogs me laissent cette impression de discussion entre vieux Corses, à l'ombre d'un chêne, au bord de la fontaine, avec des sujets qui n'ont ni queues ni têtes mais dont le but est de passer le temps et de se surprendre... Sûrement pas de se convaincre !

    Merci pour ton explication. Toutes les conceptions sont intéressantes et c'est leurs diversités qui rendent Internet si attachant et finalement si passionnel.

    RépondreSupprimer
  59. Méééé ! J'aime bien les échanges mais pas les débats inutiles ! L'impression de perdre mon temps. Le drame des gauchistes : on débat beaucoup et Sarko reste au pouvoir.

    Je n'ai pas souvenir de ce propos chez Guy. J'aimais bien parce qu'il publiait vers 6h50, heure où je me levais et je commentais parce que j'étais dans les premiers. Ces discussions entret zinfluents m'énervaient. Commenter en premier me permettait de ne pas entrer dans le débat.

    C'est bien après que je suis moi-même devenu un zinfluent avec cette première place au Wikio, gagnée place par place par hasard (et extension du nombre de contacts), que je me suis rendu compte de la connerie de beaucoup. Les gens voulaient se faire bien voir chez Guy et moi j'aimais bien son blog et en commentant, ça me rapportait des visites. A l'époque 10 visites faisaient augmenter mon score de 20 ou 30%.

    Je ne vais pas te raconter tous les épisodes, (ou alors par mail), mais j'ai fini par comprendre que beaucoup de choses n'étaient que de la connerie.

    RépondreSupprimer
  60. Un petit 66ème… J'ai suivi avec beaucoup d'intérêt, ce qui m'étonne, n'étant pas fana des commentaires.
    Contrairement à toi, cui cui, si j'aime bien recevoir des commentateurs qui prouvent que le billet a au moins été regardé un instant, même sans image, sinon lu, je manque sérieusement d'enthousiasme pour participer. En général, ce que je voulais dire fait le billet (dans la mesure ou j'ai quelque chose à dire : pas évident), et c'est tout. Je trouve normal qu'on le critique ou l'approuve, mais j'ai rarement envie d'ajouter quelque chose.

    RépondreSupprimer
  61. Ouf !

    Merci les gars.

    J'ai vraiment été comblé par vos commentaires mais les week end, je bosse comme une brute.

    Et il me faudrait pondre un billet... Ouille !

    Ça va pas le faire.

    RépondreSupprimer
  62. Ah ben si, faut s'y mettre : on ne va quand même pas bouffer des pâtes aux truffes trois jours de suite, merde, ce serait inhumain !

    RépondreSupprimer
  63. Je n'ai pas ta patience CuiCui .

    Certains commentaires (j'ai survolé ) sont à la limite de l'humiliation .De quel droit ces "esprits supérieurs " se permettent ils de te traiter ainsi ? Pourquoi justifier quoi que ce soit à ces provocations ? J'ai même vu le mot "courtoisie" traîner dans cette page .

    Les commentaires sont nombreux mais publiés par peu de lecteurs .A bientôt !

    RépondreSupprimer
  64. Je suis fatigué. Mon week end de travail fut exténuant.

    @ Turandot

    Où vois-tu une quelconque humiliation là dedans ?

    Comme si quelque commentaire que ce fut puisse être vexant !

    Jamais de la vie...
    Tu as peut-être une vision un peu manichéenne du débat, avec un vainqueur et un vaincu.

    Cela n'a jamais été le cas. Chaque camp revendique toujours la victoire mais il s'agit toujours d'un leurre ou d'un artifice de communication. Je n'ai probablement pas plus convaincu de réactionnaires que ces derniers n'ont persuadé de gauchistes.

    Et puis, j'estime que mes arguments issus de la vraie vie n'ont pas été aussi médiocres que tu le laisses entendre, par rapport à des doctrines et des clichés archi rebattus ! Bien au contraire !

    Ne serais-tu pas légèrement défaitiste sur les bords, Turandot ?

    RépondreSupprimer
  65. Je n'ai pas parlé de tes arguments , pas du tout . Je trouvais le ton, avec lequel on te répondait, hautain et pas très sympa pour toi . En fait je te défends .
    "ils ne révèlent que le complexe que vous avez développé à partir de vos diverses ignorances, ou ce que vous prenez pour telles."et "aux éternels subventionnés de l'assistanat dont vous semblez faire partie" entre autres ne me semblaient pas respectueux . Moi je sais que je n'aurais pas répondu . Rien de défaitiste là-dedans , simplement je ne réponds pas aux provocations bêtes et méchantes .
    Je ne voulais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas .
    Porte -toi bien !.

    RépondreSupprimer
  66. Demain vers 9h 17, j'ai programmé un nouveau billet.

    Moi aussi, j'en avais marre des pâtes ! D'autant que je ne cours pas après, ce qui est un comble pour un Corse...

    Ah ! Les clichés...

    RépondreSupprimer
  67. Mais, ma petite Turandot, je ne suis pas assisté puisque je suis à mon compte! Quand bien même le serais-je ?

    Je m'en amuse car cette conversation montre à l'évidence tous les clichés et les poncifs dont use et abuse la réacosphère.

    Cette morgue que tu ressens si violemment ne m'effleure même pas puisque tous les griefs ou caractéristiques dont me gratifie Goux sont parfaitement inexacts.

    Je ne corresponds pas, mais alors pas du tout, à l'archétype du gauchiste selon Saint Réac. La réalité est infiniment plus complexe.

    La simplification m'amuse énormément : tu devrais en rire avec moi !

    La vraie vie, c'est quand même autre chose qu'une peinture sommaire d'une société fantasmée et des caractères simplistes de personnages romanesques des "Brigades mondaines" dont Goux alias Michel Brice (pas sous le pseudonyme de Hassan Zitouni, hein ? Faut pas déconner quand même !) est l'auteur.

    RépondreSupprimer
  68. "je ne suis pas assisté puisque je suis à mon compte!" : je le sais depuis que je fréquente ton blog .
    Passe une bonne semaine !

    RépondreSupprimer

Laissez-vous aller à votre inspiration, sans limite ! J'ai le cuir épais, le front étroit et la vue basse...

La seule limite aux débordements : la loi....

ATTENTION ! Autrement, ici, on ne censure personne. Les insulteurs, les aigris, les haineux seront reçus comme il se doit, ils devront toutefois s'attendre à de méchantes répercussions ; un chieur averti en valant deux, place aux commentaires !
L'espace des commentaires de chaque billet sera fermé au bout de 20 jours pour contrer l'affichage sauvage de spams.