mardi 18 mars 2014

Le vent et le blogueur.




CE BLOG





MOI






Les longs discours sont superflus.

L'air et le vent sont les meilleurs amis du blogueur.

Pour mon 273ème billet sur ce blog (je ne suis pas très prolifique), je me permets de remercier infiniment ces deux éléments naturels pour leurs contributions involontaires mais efficaces au rayonnement de mon "inspiration".

C'était mon instant d'aigreur lucide et de désespoir cynique.

Un petit coucou et un grand merci éperdu de reconnaissance à toutes celles et ceux qui ne dédaignent pas prendre leur bol d'oxygène appauvri et leur dose de banalités enrichies sans risque de brûler leurs neurones en fréquentant ce vil lieu de perdition morale.

 Poils aux dorsales.

Vouloir changer le monde grâce à un blog est vain.

Poils aux reins.

Il ne sert à rien de relater notre vécu.

Poils au cul.

Néanmoins nous vaincrons parce que nous sommes les plus drôles.

Poils aux épaules.

C'est la morale de l'histoire.

Poils aux nageoires.
 
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.

48 commentaires:

  1. Superbe lucidité, l'ami, poil au tsunami ! Oui, je sais, c'est de mauvais goût, mais bon... Sinon, la "perdition morale", j'aime ça ! Suffit de regarder mes voisins !

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    1. Je ne les connais pas. Dommage !
      Merci pour ton passage. ;-)

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  2. La meilleure description de votre blog. Et de loin ! Vous excellez dans la vacuité. Cependant rassurez vous, vous n'êtes pas le seul.

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    1. Le vide et le plein, nous voici en plein dans le verre. Moitié quoi ?...

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    2. Cher anonyme.
      J'ai tellement hâte de vous lire pour mesurer la distance qui nous sépare !
      Postez moi donc un lien pour que je puisse admirer la profondeur de vos œuvres.
      J'attends...
      .

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    1. c'est le seul intérêt en effet ! :)

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    2. @Jegoun @Gael

      J'ai écrit ce texte pour déconner.
      Poil au nez
      Mais tout est parti en vrille
      Poil au sourcil

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    3. Andouille. Poil aux.. Ah non, je ne vois pas.

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  4. On ne sait plus si un blogueur est un journaliste raté ou si le journaliste est un blogueur destructuré ?

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    1. On ne sait plus si cette profonde pensée pascalienne est d'un célèbre mathématicien-et-philosophe d'il y a un certain temps ou d'un blogueur-ou-journaliste de notre temps...

      Toujours est-il, me dit mam'Michu, qu'on peut pas "être au four et au moulin" en même temps. Quoiqu'à eux-deux, dans l'ordre chronologique inverse, cela nous donne, via le pétrin, du bon pain quotidien à partir du grain : Et vive la terre et le feu, et vive l'eau et l'air ! Gazouillons, mam'Michu !

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    2. Inversons : le journaliste ne serait-il pas trop souvent un blogueur raté ?

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    3. @Rem et Babel
      Bienvenus dans l'antre du diable boîteux.
      ;-)

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  5. Ouille. Poil aux c------s
    Si c'est pas un article débile, ça !
    Vous êtes loin de la profondeur et de l'intelligence des blogs de droite.
    Pitoyable.
    Florent S.

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    1. Toi t'es un merveilleux gros connard, si je puis me permettre. Vu le côté lâche et anonyme derrière lequel tu te planques, à constamment te mesurer la bite et sans doute celle de tes semblables troglodytes afin de te sentir rassuré, ton blog doit en avoir sacrément, des couilles.
      C'est aussi ça, le désastre des blogs, des gens sans talent à perte de vue, comme un horizon bouché.

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    2. @Anonyme

      Il parait qu'il existe un gène de l'intelligence. Par malchance tu as dû y échapper...

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    3. @MHPA
      J'ai fait un billet provocateur pour me moquer de moi.
      C'est tout
      ;)
      .

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  6. Allons, et l'histoire de la graine qui, semée, donne naissance à une plante qui, à son tour, donnera plein d'autres graines ?...:)

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  7. Ton "désespoir" t'honore, Cui-cui. Ouais, on pourrait s'imaginer qu'on fait ça pour quelque chose, ben non, même pas. Pour quelqu'un, alors. Peut-être que oui, puisque deux trois dépressifs solitaires compulsifs viennent te voir afin que tu ailles à ton tour les voir aussi, toi, Aussi chaleureux qu'un dernier appel avant le suicide, parfois.
    Alors tu finis par gribouiller un petit truc pour toi tout seul et te demande bien qu'est -ce que tu fous là, et pourquoi tu t'entêtes, alors que la vie est DEHORS et les GENS.
    Une autre raison, là surtout pour les blogueurs dit politiques (et même les autres, qui OSENT s'imaginer que parfois du rêve peut s'écouler une réalité qui a enfin belle gueule) : Le débat ne serait-il pas complètement plombé, lesté, verrouillé d'avance par ce qu'ils se font un charme d'appeler la RealPolitik ?

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  8. Coup de mou. Perds pas ta fougue, (et la jubilations qui va avec et que tu nous fais ressentir), qui est celle de rentrer dans le noze de tous les ânes qui rien trouvé de mieux au monde que de passer leur temps à plomber l'atmosphère.
    ET éloigne toi du politique parfois pour raconter des jolies histoires, et également pour y puiser un nouveau souffle (parce que ça t'en as, du souffle, et dans cette période de moulin qui tournent pas ronds, voire qui passent leur temps à grincer, c'est extrêmement précieux).
    Bonne nuit, Camarade.

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    1. Je ne me suis jamais pris au sérieux.
      Même dans la vraie vie....
      :-D

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  9. Buvons buvons buvons buvons le sirop Typhon, nom d'un vent (ouche, çuilà n'est pas passé loin...)

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  10. Ce rappel à l'ordre était nécessaire, poil au Blair. :.)

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  11. L'air est superflu, je lui préfère, de loin, le vide. Poil au bide.

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  12. Personne n'est obligé de tenir un blog Ducon la joie !
    Tes gémissements m'exaspèrent parce que ton blog est pourri de commentaires et est forcément beaucoup lu. Tu n'arrête pas de pleurer comme une madeleine comme un bourge à qui on interdirait d'avoir 3 voitures diesel dans son garage.
    Tu nous les broute et même si je viens ici depuis 3 ans pour lire tes textes qui sortent un peu des sentiers battus ou du rabachage politique habituel sans intéret j'aime pas du tout tes doutes exposés en publique. Si t'en as marre, casse toi connard et abandonne ton blog. Sinon ferme ta gueule et continue à déliré: c'est la seule chose que j'aime ici.
    Je t'encule. Poil au cule.

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    1. ça ressemble à du masochisme de venir lire un blog qu'on ne supporte pas... En fait Cuicui tu fais peut-être œuvre de salubrité publique :)

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    2. @Thibault
      Que te répondre, mec ?
      Tu me détestes et tu m'aimes en même temps ?
      Tu sais que ça peut se traiter médicalement ?
      Je t'encourage vivement à te soigner rapidement.
      Tiens moi au courant : ta santé mentale me concerne aussi.

      Sois courageux,ce n'est qu'un mauvais moment à passer...
      Et ne reviens que lorsque tu seras guéri !

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  13. Voui CuiCui, continue : certains partiront ainsi, et nul ne les regrettera, poil au bras.

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    1. Ce n'est pas un commentaire qui m'arrêtera, cher Babel.
      Et tant sue j'aurais le plaisir de te lire ici...
      .

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  14. Les commentaires sont ahurissants. L'aspect fascination-répulsion est ici parfaitement illustré; Cuicui, vous êtes comme le serpent du livre de la jungle. Comment faites vous pour ne pas modérer ?
    Vous me direz que des tas gens de gauche regardent chaque semaine l'émission Mots croisés de Calvi. Cela procède du même masochisme.
    CM

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    1. C'est bien de souligner cette caractéristique d'Internet : la curiosité compulsive ou la fascination envers ceux qu'on déteste ou qui ont des idées complètement opposées aux siennes.
      Étrange posture à laquelle je n'échappe pas.
      .

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  15. Hum ! Personnage polémique et clivant, le tenancier de ce blog.

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  16. Je vous envierais presque deux ou trois de vos commentateurs, courageusement anonymes : c'est du troll de première grandeur !

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    1. La cyber méchanceté ne provoque chez moi que des réactions virtuelles.
      Sur Internet, je suis dans la plus totale abstraction...

      Hormis les marques d'intérêt ou d'affection, rien ne m'ébranle.
      .

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  17. À mon avis, ces trolls sont des faux. Des copains du taulier qui lui font une farce.

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    1. @Jegoun @MHPA
      Une violence que j'ai connu sur l'ancien blog collectif dans lequel je collaborais.
      Peut-être des résidus de cette haine passée.
      Pas très grave. ;-)
      .

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  18. Ouch !

    Ben dites donc, je découvre avec stupeur que pendant que l'oiseau vaque à ses occupations, les chats dansent.
    Qu'est ce que je déguste, mes aïeux ! Je ne crois pas à des farces ou des blagues de potes vu que presque personne autour de moi dans la vie IRL sait que je blogue.

    Ou alors des potes blogueurs ? mais ça m'étonnerait...

    En tout cas c'est si violent que j'en suis un peu assommé... C'est aussi ça internet. Faut s'y faire.
    Dans mon ancien blog collectif, j'avais connu bien plus haineux. La haine virtuelle ne m'atteint pas plus que ça.

    Je répondrai à chacun car je suis occupé pour l'instant.

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  19. Un oiseau s’envole,
    II rejette les nues comme un voile inutile,
    II n’a jamais craint la lumière,
    Enfermé dans son vol
    II n’a jamais eu d’ombre.

    Coquilles des moissons brisées par le soleil.
    Toutes les feuilles dans les bois disent oui,
    Elles ne savent dire que oui,
    Toute question, toute réponse
    Et la rosée coule au fond de ce oui.

    Un homme aux yeux légers décrit le ciel d’amour.
    Il en rassemble les merveilles
    Comme des feuilles dans un bois,
    Comme des oiseaux dans leurs ailes
    Et des hommes dans le sommeil.

    Paul Eluard (poil au hazard)

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    1. Merci Robert.
      Je ne sais quelle mouche a piqué Goux mais sa vindicte a ton égard montre que lors d'une passe d'arme précédente, tu as dû toucher un des défauts de sa cuirasse.

      Surtout que sa réaction ne t'empêche pas de commenter ici car j'ai besoin de tes réactions !
      ;-)

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  20. Ce qui est bien, ce sont les constantes. Par exemple, Robert Spire est toujours aussi pesamment con. Il n'a rien à dire, donc il recopie un poème ; et, bien entendu, il recopie le poème d'un stalinien pas plus poète que moi.

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    1. En ne cessant pas de médire sur Robert, vous me cassez les couilles, Goux.
      J'ai beaucoup d'affection et d'admiration pour Robert, infiniment plus cultivé que moi.
      D'autre part, je trouve scandaleux que vous n'encensiez systématiquement que des écrivains de droite. Comme si un écrivain de gauche était forcément médiocre à cause de ses opinions....
      Votre sectarisme me tape sur les nerfs, d'autant plus qu'à vos yeux, un blogueur de gauche est forcément mauvais.
      Vos critères sont simplistes : comme si le talent était strictement l'apanage de réactionnaires. Stupide et grotesque !
      Et arrêtez donc d'emmerder Robert sur ce blog.

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    2. Ce qui serait bien, ça serait une rupture. Genre arrêter de penser en stalinien, pour qui toute appréciation artistique est subordonné à un appréciation politique. Le poème ci-dessus était autre chose que l'Ode à Staline, il mérite d'être estimé pour lui-même.

      Mais bon, on apprend pas à un vieux singe à monter une galerie d'art, ou un truc de ce style.

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  21. Si ton blog n'existait pas faudrait l'inventer, il est de salubrité publique et leur sert de défouloir...ça leur évite les cachtons et psy. peut-être...
    Même Eluard y a eu droit.
    ouf !
    Je ne regrette pas d'être passée (campagne intense fait que je prends moins le temps de jeter un oeil)
    Mais ne leur déplaise à ces cons, toujours un plaisir de te lire Cuicui !

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  22. Enfoiré, tu fais même pas l'ombre d'un billet, t'as 46 commentaires (avec le mien).
    RIRE. GROS. BALEZE. ÉNORME.
    C'est exactement ça, le blog, un truc affectif mêlé de régularité. Lamentable. Effectivement, je trouve ça à chier.

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    1. Je n'y peux rien, Stéphane. Je ne maîtrise ni les réactions ni les audiences !

      Mes billets sur la vieillesse et sur la fin de vie n'ont eu aucun écho...

      Que dire de plus ?!
      Ce billet débile n'était qu'une transition en attendant l'inspiration ! Rien de plus.

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  23. A propos de la vieillesse , je me demande pourquoi est-ce qu'ils ne se servent pas d'internet dans les maisons de retraite, les personnes âgées pourraient ainsi dialoguer avec leurs familles en vidéo, le lien ne serait pas rompu et tout le monde s'en porterait mieux, les familles et les personnes âgées ...De plus, comme ça, finis les cas de mauvais traitements.

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Laissez-vous aller à votre inspiration, sans limite ! J'ai le cuir épais, le front étroit et la vue basse...

La seule limite aux débordements : la loi....

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