.
Futurs retraités grabataires, je vous salue !
Après avoir enfilé ses rangers à 2500 € en cuir de yak himalayen élevé par les Sherpas, façonnées sur mesure par le prestigieux atelier Christian Louboutin, le Maréchalissime Bernard-Henri Lévy, Grand Maître de l'ordre du Botulisme, méchamment surnommé Béchamel par ses détracteurs, se dirigea d'un pas alerte vers les studios de Canal +.
En plus du titre honorifique de Maréchalissime qu'il s'était octroyé avec l'humilité qui sied à un penseur détaché des contingences matérielles, Bernard-Henri se considérait comme le premier philosophe guerrier de l'empire occidental.
Son cheval de bataille et ses prétextes interventionnistes : les droits de l'homme, son but : éradiquer les dictatures barbares (surtout lorsqu'elles n'étaient pas occidentales), ses méthodes : grâce à son entregent et à son pouvoir médiatique, pousser les dirigeants à intervenir militairement pour détruire les forces d'oppression, ses résultats : une véritable anarchie sanglante, la guerre civile, des pays en miettes, la dissémination des armes, la propagation de groupuscules extrémistes.
Béchamel est un homme intelligent, il a compris que le monde du 21ème siècle est découpé entre quelques sphères d'influence bien spécifiques :
- Une Asie travailleuse et industrieuse disposant d'un réservoir de main d'œuvre compétente et surtout corvéable à merci grâce à des régimes particulièrement autoritaires et des salaires misérables. L'Asie est un continent relativement pacifique.
- Un Occident transformé en véritable machine de guerre idéologique, médiatique et militaire conquérante dont la technologie permet d'éviter les pertes humaines insupportables à son opinion politique. Les pays occidentaux "dits démocratiques" sont devenus objectivement un empire guerrier presque totalitaire au service de puissances financières qui ont, par leurs lobbies, infiltré toutes les sphères décisionnelles des pouvoirs politiques.
- Un Moyen Orient, devenu le champ de bataille de la planète où les musulmans se déchirent entre minorités chiites soutenues par les iraniens et la majorité sunnite, entre Perses, Arabes et Turcs, entre Kurdes atomisés et les états comme la Turquie, l'Irak et la Syrie, entre les frères musulmans téléguidés par le Qatar et les salafistes influencés par l'Arabie Saoudite, entre tribus concurrentes. Bref, le Moyen Orient est un guêpier, une poudrière. Mais ce désordre favorise le commerce des pétroliers qui voient d'un assez bon œil ce merdier leur permettant d'imposer des conditions commerciales favorables et surtout d'activer une corruption active vis à vis des cadres de ces pays en déshérence.
- Une Russie trop faible qui aboie mais ne mord plus depuis belle lurette.
- Une Afrique que convoite la Chine pour ses ressources mais que l'Occident surveille avec attention du coin de l'œil.
- Les pays d'Amérique du sud qui deviennent un laboratoire politique intéressant mais peu stabilisé.
Le Maréchalissime Bernard-Henri Lévy a compris que la force est du côté d'un l'empire occidental n'ayant jamais, au cours de l'histoire, été aussi puissant militairement. Bénéficiant de l'aval de l'oligarchie, du soutien des médias détenus par les financiers, BHL, se rêve comme le maître spirituel de ce début du 21ème siècle.
Un philosophe convaincant un président d'intervenir en Libye, contribuant à la destruction d'un pouvoir politique au nom des droits de l'homme pour y laisser un champ de ruines fantomatiques, de mémoire d'historien, on n'avait jamais vu telle performance !
Pour quelques milliards de plus notre héros, amateur de la politique de la terre brûlée dans les pays arabes, souhaite nous refaire le scénario en Syrie où, entre les partisans d'un dictateur sanguinaire et les combattants des groupuscules fanatiques religieux mélangés à des démocrates plus ou moins manipulés, une guerre civile se déroulera pendant probablement très longtemps. La démocratie, n'y gagnera évidemment strictement rien et les victimes les plus à plaindre resteront les pauvres gens désintéressés de la politique pris entre le marteau et l'enclume, une majorité comme dans la plupart des conflits internes.
Béchamel aime infiniment son reflet éblouissant qu'il ne cesse d'admirer dans son miroir et de travailler inlassablement ses poses photographiques. Il est fier de montrer à l'univers qu'un penseur est enfin parvenu à passer de la théorie au concret pour le bonheur des peuples selon sa perception occidentale -la seule qui vaille- et surtout à se laisser griser par la douce euphorie inédite d'un philosophe jamais rongé par le doute.
Poil à ma zoute.
Au fait, les amis, je me pose une question : tous ces milliards dépensés à la guerre, ne seraient-ils pas plus utiles ailleurs ? Ou alors, qui se fout donc de notre gueule ?
Pourquoi les États disposent-ils toujours de suffisamment d'argent pour faire la guerre à Pétaouchnok et en manquent-ils tant pour satisfaire le bien-être de leur population ?
Oui. S'il vous plait, dites-moi ?
.
Futurs retraités grabataires, je vous salue !
Après avoir enfilé ses rangers à 2500 € en cuir de yak himalayen élevé par les Sherpas, façonnées sur mesure par le prestigieux atelier Christian Louboutin, le Maréchalissime Bernard-Henri Lévy, Grand Maître de l'ordre du Botulisme, méchamment surnommé Béchamel par ses détracteurs, se dirigea d'un pas alerte vers les studios de Canal +.
En plus du titre honorifique de Maréchalissime qu'il s'était octroyé avec l'humilité qui sied à un penseur détaché des contingences matérielles, Bernard-Henri se considérait comme le premier philosophe guerrier de l'empire occidental.
Son cheval de bataille et ses prétextes interventionnistes : les droits de l'homme, son but : éradiquer les dictatures barbares (surtout lorsqu'elles n'étaient pas occidentales), ses méthodes : grâce à son entregent et à son pouvoir médiatique, pousser les dirigeants à intervenir militairement pour détruire les forces d'oppression, ses résultats : une véritable anarchie sanglante, la guerre civile, des pays en miettes, la dissémination des armes, la propagation de groupuscules extrémistes.
Béchamel est un homme intelligent, il a compris que le monde du 21ème siècle est découpé entre quelques sphères d'influence bien spécifiques :
- Une Asie travailleuse et industrieuse disposant d'un réservoir de main d'œuvre compétente et surtout corvéable à merci grâce à des régimes particulièrement autoritaires et des salaires misérables. L'Asie est un continent relativement pacifique.
- Un Occident transformé en véritable machine de guerre idéologique, médiatique et militaire conquérante dont la technologie permet d'éviter les pertes humaines insupportables à son opinion politique. Les pays occidentaux "dits démocratiques" sont devenus objectivement un empire guerrier presque totalitaire au service de puissances financières qui ont, par leurs lobbies, infiltré toutes les sphères décisionnelles des pouvoirs politiques.
- Un Moyen Orient, devenu le champ de bataille de la planète où les musulmans se déchirent entre minorités chiites soutenues par les iraniens et la majorité sunnite, entre Perses, Arabes et Turcs, entre Kurdes atomisés et les états comme la Turquie, l'Irak et la Syrie, entre les frères musulmans téléguidés par le Qatar et les salafistes influencés par l'Arabie Saoudite, entre tribus concurrentes. Bref, le Moyen Orient est un guêpier, une poudrière. Mais ce désordre favorise le commerce des pétroliers qui voient d'un assez bon œil ce merdier leur permettant d'imposer des conditions commerciales favorables et surtout d'activer une corruption active vis à vis des cadres de ces pays en déshérence.
- Une Russie trop faible qui aboie mais ne mord plus depuis belle lurette.
- Une Afrique que convoite la Chine pour ses ressources mais que l'Occident surveille avec attention du coin de l'œil.
- Les pays d'Amérique du sud qui deviennent un laboratoire politique intéressant mais peu stabilisé.
Le Maréchalissime Bernard-Henri Lévy a compris que la force est du côté d'un l'empire occidental n'ayant jamais, au cours de l'histoire, été aussi puissant militairement. Bénéficiant de l'aval de l'oligarchie, du soutien des médias détenus par les financiers, BHL, se rêve comme le maître spirituel de ce début du 21ème siècle.
Un philosophe convaincant un président d'intervenir en Libye, contribuant à la destruction d'un pouvoir politique au nom des droits de l'homme pour y laisser un champ de ruines fantomatiques, de mémoire d'historien, on n'avait jamais vu telle performance !
Pour quelques milliards de plus notre héros, amateur de la politique de la terre brûlée dans les pays arabes, souhaite nous refaire le scénario en Syrie où, entre les partisans d'un dictateur sanguinaire et les combattants des groupuscules fanatiques religieux mélangés à des démocrates plus ou moins manipulés, une guerre civile se déroulera pendant probablement très longtemps. La démocratie, n'y gagnera évidemment strictement rien et les victimes les plus à plaindre resteront les pauvres gens désintéressés de la politique pris entre le marteau et l'enclume, une majorité comme dans la plupart des conflits internes.
Béchamel aime infiniment son reflet éblouissant qu'il ne cesse d'admirer dans son miroir et de travailler inlassablement ses poses photographiques. Il est fier de montrer à l'univers qu'un penseur est enfin parvenu à passer de la théorie au concret pour le bonheur des peuples selon sa perception occidentale -la seule qui vaille- et surtout à se laisser griser par la douce euphorie inédite d'un philosophe jamais rongé par le doute.
Poil à ma zoute.
Au fait, les amis, je me pose une question : tous ces milliards dépensés à la guerre, ne seraient-ils pas plus utiles ailleurs ? Ou alors, qui se fout donc de notre gueule ?
Pourquoi les États disposent-ils toujours de suffisamment d'argent pour faire la guerre à Pétaouchnok et en manquent-ils tant pour satisfaire le bien-être de leur population ?
Oui. S'il vous plait, dites-moi ?
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Bagdad, Le Caire et Damas...
RépondreSupprimerhttp://www.lejournaldepersonne.com/2013/08/bagdad-le-caire-damas/
Si l'Amérique le décide. Le reste du monde se suicide.
Parce que cette énorme puissance n'a pas d'alliés mais seulement des laquais.
Quand elle se leurre, ce sont les autres qui meurent... Parce que tout le monde attend ses faveurs et défend sa couleur... la couleur de l'argent... l'argent qui règne en infiltrant le monde avec ses agents doubles... ses agents troubles.
L'Amérique on la suit, ou on la subit. Il n'y a pas d'autre alternative : c'est l'éternelle cigarette du pendu, qui permet aux uns et aux autres de reculer l'échéance sans connaître la délivrance.
Qui n'a pas encore signé le pacte avec le diable ?
C'est le moment où jamais pour tous ceux qui se veulent ses plus dignes héritiers.
Il paraît qu'ils ont déjà signé. Et qu'ils sont toujours bien disposés pour saigner pour la survie de leur nouvelle planète bleue nuit. Le capitalisme et l'impérialisme réunis, n'ont pas fini de vider de leur substance, toute poche de résistance. Hier, Bagdad, aujourd'hui le Caire et demain Damas.
Trois ignobles mensonges pour nous signifier que le monde n'appartient plus qu'à quelques uns : les plus riches qui ne cessent de s'enrichir et nous faire fléchir devant une éventuelle troisième guerre.
Bagdad et ses armes de destruction massive... Le Caire et son général Al-Sissi qui font comme si l'Égypte s'en est sortie, en oubliant de dire que l'armée, toute l'armée est financée et influencée par son oncle d'Amérique; qu'elle a beau crevé l'abcès intégriste, elle ne pourra jamais prétendre à quelque intégrité. Son antinomie ne favorisera pas son autonomie. Force subalterne dirigée par des subalternes
Et demain ? Damas qu'on veut passer à l'as...Sous prétexte d'utilisation d'armes de destruction chimique.
Après demain, on dira qu'on s'est tout de même débarrassé d'un tyran. Qu'à toute chose, malheur est bon... mon cul!
Je dis : NON, parce qu'il n'y a pas plus grand malheur qu'un leurre collectif, conçu comme arme de destruction idéologique.
Une mauvaise idée qui traîne et entraîne tous ceux qui sont politiquement à la traîne. Nous avons armé les rebelles. Mais cela n'a pas suffi. Nous nous apprêtons donc à désarmer les forces qui ne sont pas sous notre tutelle.
Qui sommes nous donc ? Des terroristes... rien que des terroristes qui sont prêts à tout au nom de la vérité, pour faire valoir leurs intérêts.
Je m'adresse à tous les internautes qui ont élevé la voix comme un seul homme pour dire NON, qu'ils ont beau crier, ils n'inverseront pas la tendance ...
Parce que le NET quoi qu'on en dise... est soumis à leur planète... camarades, on va bientôt découvrir toute l'étendue de notre illusion :
Nous ne sommes que des épiphénomènes.
C'est un billet dans le billet ? ;)
SupprimerRahaaa, ben oui, putain de question à laquelle il manque toujours une putain de réponse. Tiens, j'ai tiqué évidemment, sur ton "Les pays occidentaux "dits démocratiques" sont devenus objectivement un empire guerrier presque totalitaire au service de puissances financières qui ont, par leurs lobbies, infiltré toutes les sphères décisionnelles des pouvoirs politiques".
RépondreSupprimerJe lis actuellement TOUT CLEARSTREAM de l'ami Denis Robert, et il est vrai que si ce sac à merde d'Humanité avant de beugler que "c'est la faute aux araaaabes" commençait à regarder à ce qu'on lui cache et qui se promène juste sous son nez chaque jour que le CAC 40fait et ce devant lequel il n'aura que le droit de fermer éternellement la gueule, peut-être qu'un jour, l'idée d'un éventuel "changement" ne serait plus une bouffonnerie, hein, peut-être ?
Il y a de ces phrases qui font plaisir comme :
"Nos adversaires parient sur notre essoufflement. Ils jouent sur l'intimidation, sur la paresse des médias à s'emparer de ces sujets, chasse gardée des spécialistes de la finance. ils pensent que les choses vont finir par se tasser, que l'affaire est trop compliquée pour intéresser le grand public.
Je pense qu'ils ont tord."
Belle journée, mon Cui-Cui
Loin de moi, l'idée de refaire le monde, mais si on observe les affaires internationales sans passion, sans parti-pris, sans religion, sans crainte, avec l'affectivité d'un entomologiste observant une fourmilière, compte-tenu d'une certaine expérience de la vie et des humains, certaines évidences sautent aux yeux...
SupprimerTa visite est toujours une source de joie pour moi.
Cela dit, vu ton changement de blog, j'ai dû louper des choses...
Tien au fait, je suis là maintenant (pour ta blogRoll):
RépondreSupprimerhttp://mikehammerandropov.blogspot.fr/
(oui parce que Wordpress faisait chier avec sa gueule chiadé qui cache l'impossibilité de coller le moindre Widget intéressant à moins de raquer, alors va fanculo)
Je vais modifier illico... ;-)
SupprimerCette synthese est pas mal vue.
RépondreSupprimerLa notion d'empire occidental, front guerrier soudé et uni sous les ordres des USA mais aussi influencé par la puissance financière des pays du golfe me parait assez juste.
Il faut avoir fait de longues étude pour accoucher d'un texte aussi pénétrant...
SupprimerLe montage photo est irrésistible. Les trophées désopilants. Le texte trop cérébral pour moi.
RépondreSupprimerChaque jour, je me reproche d'être bien trop intello...
SupprimerCe mélange de dérision; de blagues de potaches et de sérieux qu'on trouve dans ce blog m'énerve au + haut point
RépondreSupprimerOuaip. Moi aussi.
SupprimerMarre de ces mecs qui disent des trucs sérieux en déconnant !
On préfère tous des gens qui disent des conneries avec sérieux, c'est vrai ça, merde alors !
Vous êtes stipendié par les services de propagande de Poutine et Bachar el Assad !
RépondreSupprimerCe dernier commentaire signé "BHL" est très probablement un faux BHL, qu'importe ! Il importe (pour le vrai béchamel) que nous ne soyons pas stipendiés (oh le joli mot!)par LE filosof en chef, le fat tellement fat qu'il est roi de la fatuité...
SupprimerBon je ne "m'énerve pas au + plus point" comme l'anonyme précédent par la "dérision" de bon aloi du cui-cui national...
Et, à propos, cette dérisoire contradiction d'un certain Poutine. D'un côté il brandit sa menace apocalyptique contre l'Arabie, en cas d'agression contre Bachar el Assad. D'un autre, il l'applique contre un artiste humoriste : il fait fermer un musée de St-Petersburg qui avait osé exposer un tableau représentant Poutine et Medvedef en sous-vêtements féminins... Le vilain moqueur a, paraît-il, demandé l'asile politique en France !...
@ Rem
SupprimerHolà Rem ! Crois-tu que le sieur Bernard-Henri daignerait commenter sur un blog pouilleux, un pamphlet mal foutu qui l'écorcherait !
Non, mais allo, quoi !
Je n'en suis hélas pas à ce stade de notoriété... :-D
Je
@ BHL
SupprimerFake, évidemment...
Rappelez-vous, cher Bernard-Henri, je vous ai fait une offre de panégyrique : vous m'avez proposé 25 $ alors que Poutine m'en a offert 50 $ ! Qu'auriez-vous fait à ma place ?
Ouch !
RépondreSupprimerDifficile de défendre un billet à postériori, après une absence !
Je vais répondre.
Autrement, aussi bizarre que ça puisse paraître, je n'aime pas ce texte...
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Béchamel, quel joli nom et qui lui va si bien - Je trouve ce type insupportable.
RépondreSupprimerComment peut-on donner autant d'importance à ce pseudomachin.
Bravo continue, comme tu sais le faire avec humour et dérision à nous raconter le monde dans lequel nous vivons.
Je ne szos pas s'il s'agit du monde dans lequel nous vivons mais c'est en tout cas celui que je ressens...
SupprimerJ'adore mélanger fiction et réalite, Jeanne, d'autant que parfois, chacun se perds...
Les commentaires comme les tiens me stimulent beaucoup car j'ai la foi sinusoïdale.
Merci Jeanne!
Le dodu centurion Hollandus (fort en gueule quand ses puissants copains l'entourent) se retrouve tout seul en campagne comme un con....à l'image (hilarante) de ces chefs romains obséquieux dans la BD des Astérix.
RépondreSupprimerRobert Spire
Avouons que les évènements de ces derniers jours ne l'ont guère favorisé avec les rettraits forcés de Cameron et prudent d'Obama.
SupprimerÇa lui apprendra la prudence et la retenue à notre naïf Hollande !
En dehors de votre caricature du penseur des beaux quartiers, votre analyse du terrain est un peu sommaire mais assez bien vue.
RépondreSupprimerJ'ai lu que des gens pensent que l'aspect économique, ressources de gaz et de pétrole, est la principale raison du conflt (Qatar, Russie, Gazprom etc)
C'est bien mal connaitre le Moyen Orient oú les passions religieuses entre Chiites et Sunnites, inter ethniques, inter tribales, et tout ce que vous décrivez justement sont primordiales.
Les occidentaux (et non l'empire occidental car moins uni qu'on imagine) voient leurs intérêts stratégiques mais ils ne comprennent rien à l'âme orientale moins matérialiste mais plus spirituelle (religion) et plus portée aux divisions.
Je vais vous faire une confidence : vous avez un blog un peu fou et parodique mais ce que vous y écrivez est cent fois plus pertinent que bien des blogs et articles spécialisés.
J'accepte toutes vos critiques Jef, mais sur la conclusion, je trouve que trop de flatteries tuent la flatterie.
SupprimerSur votre vision du Proche Orient, il me semble que vous en connaissez largement plus que moi.
Je me sens toujours mal à l'aise devant des compliments que ne ne mérite pas. Je ne suis qu'un type banal et pas trop sérieux qui s'est lancé dans l'aventure du blog. C'est tout et c'est dit.
Cela dit, merci d'avoir eu la gentillesse de témoigner.